Publié le 2 Janvier 2022

José Manuel Vidal nous montre sur religiondigital.org ce dimanche 2 janvier 2022 que dans sa catéchèse depuis la chaise près de la fenêtre, le pape François est revenu sur la phrase de l'Évangile en Saint Jean «Le Verbe s'est fait chair et a habité parmi nous» (Jean 1, 14) (https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2022-01/angelus-pape-francois0.html), et a glosé le paradoxe d'un Dieu qui est «Parole et chair». Car «Jésus est la lumière de Dieu qui est entré dans les ténèbres du monde» et «si nous le rejetons, il ne se lasse pas de nous chercher».

 

Bien que nous ne nous considérions pas dignes, «Jésus vient habiter toute notre vie concrète, ordinaire, où tout ne va pas bien, où il y a beaucoup de problèmes». Pour cette raison, le pape invite les chrétiens à «inviter officiellement Dieu dans nos vies, en particulier dans les zones sombres, dans nos 'écuries intérieures'».

 

En ce premier dimanche de 2022, après avoir salué les pèlerins rassemblés sur la Place Saint-Pierre, le Pape a adressé ses «voeux de paix et de bien dans le Seigneur» pour cette nouvelle année. «Dans les moments heureux et dans les moments tristes, confions-nous à Lui, qui est notre force et notre espérance», a-t-il exhorté. Au Vatican et en Italie, où l'Épiphanie sera célébrée le jeudi 6 janvier, les textes lus dans les messes d'aujourd'hui sont ceux du 2e dimanche de Noël (https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2022-01/angelus-pape-francois0.html).

 

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Publié le 1 Janvier 2022

LCI.fr nous montre le pape François a appelé samedi le monde à "retrousser ses manches" pour œuvrer à la paix et assuré que la violence envers les femmes équivalait à "outrager Dieu", dans un message au premier jour de l'année. Le pape a consacré son message à l'issue de la première prière de l'Angélus de 2022 à la nécessité de stopper la violence dans le monde, à l'occasion de la 55e journée mondiale de prière pour la paix.

 

Sous un ciel ensoleillé, le chef de l'Église catholique qui compte 1,3 milliard de fidèles s'est exprimé depuis sa fenêtre du palais apostolique devant la foule rassemblée place Saint-Pierre. "Il n'y a pas lieu de se laisser abattre et de se plaindre, mais de retrousser ses manches pour construire la paix", a-t-il dit. "Rentrons chez nous en pensant à la paix, la paix, la paix. Nous avons besoin de la paix".

 

Le pape François, qui a eu 85 ans le 17 décembre et entamera en mars la neuvième année de son pontificat, a rappelé que la paix suppose "des actions concrètes" et se construit "avec l'attention envers les plus petits, avec la promotion de la justice, avec le courage du pardon, qui éteint le feu de la haine". Elle nécessite "une perspective positive également, qui voit, dans l'Église aussi bien que dans la société, non pas le mal qui nous divise mais le bien qui nous unit !".

 

Auparavant, durant une messe dans la basilique Saint-Pierre en l'honneur de la Vierge Marie, le pape avait dénoncé la violence envers les femmes comme une insulte envers Dieu. "L'Église est mère, l'Église est femme", a-t-il estimé. "Et pendant que les mères donnent la vie et que les femmes gardent le monde, faisons tous en sorte de promouvoir les mères et de protéger les femmes". "Que de violence il y a à l'égard des femmes! Asse! Blesser une femme, c’est outrager Dieu qui a pris l'humanité d’une femme", a-t-il ajouté.

 

Dans un message rendu public le 21 décembre par le Vatican pour la Journée mondiale de la paix, le pape avait recommandé "trois voies pour construire une paix durable", le dialogue entre générations, l'éducation et le travail, "essentiels pour 'l'élaboration d’un pacte social', sans lequel tout projet de paix est inconsistant". Le texte soulignait que le budget consacré à l'éducation s'est réduit "sensiblement" ces dernières années dans le monde contrairement aux dépenses militaires qui ont dépassé "le niveau de la  fin de la guerre froide".

 

Le pape a repris samedi ces thèmes après l'Angelus, évoquant les "temps incertains et difficiles en raison de la pandémie". "Nombreux sont ceux qui ont peur de l'avenir et qui sont accablés par les situations sociales, les problèmes personnels, les dangers de la crise écologique, les injustices et les déséquilibres économiques planétaires", a-t-il dit. "En regardant Marie tenant son enfant dans ses bras, je pense aux jeunes mères et à leurs enfants qui fuient les guerres et la famine ou qui attendent dans des camps de réfugiés".

 

Le pape François a lancé un appel à protéger les femmes et à la paix en ce moment de pandémie mondiale, où les changements sont salutaires pour rendre ce monde un peu plus vivable à travers un ‘pacte social’, comme il le souhaite.

 

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