Publié le 31 Mai 2025

Maxime Dhuin dans HuffingtonPost.fr nous montre ce samedi un appel à convertir toujours plus de Français au catholicisme. Le pape Léon XIV a adressé ce samedi 31 mai une lettre aux évêques de France. Il y fait référence à trois saints français canonisés en 1925 par Pie XI : saint Jean-Marie Vianney, saint Jean-Eudes et sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face. Cette année 2025 durant laquelle est célébré le centenaire de ces canonisations constitue, pour le souverain pontife, une invitation à réveiller «cette terre de France». Il appelle ainsi à ne pas vivre avec la nostalgie «d'un passé qui pourrait sembler révolu» (https://www.lepoint.fr/societe/pourquoi-le-pape-leon-xiv-adresse-une-lettre-aux-eveques-de-france-31-05-2025-2590945_23.php). Il y appelle aussi les ecclésiastiques et les croyants français à redonner «un nouvel élan missionnaire» à l’Hexagone. Le catholicisme y reste la première religion selon l’INSEE, mais le nombre de croyants est en chute libre depuis un demi-siècle. En 2023, 29 % des Français se déclaraient catholiques contre 85 % en 1962.

 

Même si le souverain pontife n'évoque pas directement la loi sur l'aide à mourir qui vient d'être adoptée à l'Assemblée nationale (https://www.lepoint.fr/societe/pourquoi-le-pape-leon-xiv-adresse-une-lettre-aux-eveques-de-france-31-05-2025-2590945_23.php), a d’ailleurs eu des mots cash sur la situation dans le pays qui se trouve selon lui «sous les vents contraires et parfois hostiles de l’indifférentisme, du matérialisme et de l’individualisme». Le pape Léon XIV a aussi profité de sa lettre pour adresser un message de soutien fort à «tous les prêtres de France», ont relevé Le Figaro et Vatican News. Il dit les «remercier du fond du cœur […] pour leur engagement courageux et persévérant» avant de «leur exprimer [sa] paternelle affection». Pour qu’ils parviennent à convertir de nouveaux fidèles, le pape les invite à s’appuyer sur le patrimoine catholique français et notamment sur de grands saints connus des catholiques du monde entier et venus de l’Hexagone, telle Sainte Thérèse de Lisieux. «Dieu peut, moyennant le secours des saints qu’Il vous a donnés et que vous célébrez, renouveler les merveilles qu’Il a accomplies dans le passé», écrit le pape Léon XIV.

 

«Ces trois figures de sainteté», dont le centenaire de la canonisation va être célébré (il évoque également Saint Jean-Eudes et Saint Jean-Marie Vianney) sont selon lui «pertinentes» pour «faire face» à «l’ampleur des défis qui se présentent» à l’Église française. Le pape Léon XIV estime dans sa lettre que ces derniers ont en commun le fait d'avoir «aimé sans réserve Jésus de manière simple, forte et authentique». Évoquant ces saints qui ont fait l'expérience de la bonté et de la tendresse de Jésus «dans une particulière proximité quotidienne», le souverain pontife explique que ces derniers ont témoigné de cet amour dans «un admirable élan missionnaire» (https://www.lepoint.fr/societe/pourquoi-le-pape-leon-xiv-adresse-une-lettre-aux-eveques-de-france-31-05-2025-2590945_23.php). Mais au-delà de ces «modèles à imiter», le pape invite les prêtres à s’appuyer sur l’«héritage chrétien» qui «imprègne profondément» la culture française.

 

Réveiller la France et redonner un nouvel élan missionnaire, ce sera difficile si on reprend le même modèle qui n’a pas marché, surtout quand la hiérarchie ecclésiastique locale s’oppose à toutes les évolutions de la société rendant ainsi inaudible l’Église, ce qui explique finalement la désaffection des fidèles et la baisse des ordinations. L’autre solution serait d’être à l’écoute du Peuple de Die, de l’accompagner et de le rendre plus autonome pour que l’Église se libère du cléricalisme avec un pape qui sera un pasteur, un guide et un père plutôt qu’un souverain imposant ses idées à une masse amorphe. Espérons que la France choisissent la voie d’une Église ouverte sur le monde.

 

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Publié le 30 Mai 2025

religiondigital.org nous montre ce que le pape Léon XIV a reçu ce vendredi le patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomée Ier, chef de l'Église orthodoxe, qui est à Rome pour recevoir un prix de l'Université pontificale Antonianum pour son «engagement en faveur de l'écologie holistique». Il s’agit de la deuxième rencontre privée entre les deux dirigeants de l’Église. Le 19 mai, ils s'étaient déjà rencontrés au Vatican pour une première audience, où ils avaient convenu d'un engagement commun en faveur de la paix et de l'environnement et discuté d'un éventuel voyage à Nicée pour marquer le 1700e anniversaire du Concile.

 

Après la réunion de vendredi, Prevost a également reçu le chef de l'Église syrienne catholique basée au Liban, le patriarche Ignace Youssif III Younan, au pro-préfet du Dicastère pour l'Évangélisation, le cardinal Luis Antonio Tagle, l'un des cardinaux qui étaient considérés comme un des favoris du conclave tenu il y a un mois, qui selon des rumeurs persistantes circulant dans la Ville Éternelle et avec lequel il est très proche, Léon XIV pourrait céder son poste à la «fabrique des évêques» à ce dernier surtout quand lui a attribué le diocèse titulaire d'Albano, au sud-est de Rome, un geste qui confirmerait que le «style François» de nomination des prélats continue à se développer (https://www.religiondigital.org/vaticano/Tagle-sucesor-Prevost-dicasterio-Obispos-leon-vaticano-curia-francisco_0_2784021576.html), et le chef de la prélature territoriale de Chota au Pérou, Victor Emiliano Villegas Suclupe, selon le Bureau de presse du Vatican. En tant que président du réseau ecclésiastique amazonien REPAM, l'archevêque colombien de Florence, Omar de Jesús Mejía Giraldo, a également rendu visite au pape avant de rencontrer des représentants des mouvements pacifistes.

 

En outre, ce vendredi, le pape Léon XIV a nommé le directeur informatique des Archives apostoliques, l'ingénieur Daniele Gallinella, comme expert de la même institution, tandis qu'au Dicastère pour le dialogue interreligieux, il a promu le jésuite Laurent Basanese à la tête du bureau. Un poste similaire au Dicastère pour la Charité sera désormais occupé par le père Romanus Mbena, qui travaillait auparavant au service diplomatique de la Secrétairerie d'État. Toutes les nominations entreront en vigueur le 1er juin 2025. De nouveaux évêques ont également été nommés. À Newark, aux États-Unis, pays d'origine du nouveau pape, Pedro Bismarck Chau, actuellement recteur de la basilique cathédrale du Sacré-Cœur, a été nommé pour remplacer Gregory J. Studerus. En outre, les membres de l'Église syro-malankare, unie à Rome, à Mavelikara (Inde), auront comme nouvel évêque Mathews Mar Polycarpos (Manakkarakavil), élu par le Synode responsable. Auparavant, il était évêque auxiliaire dans l'éparchie de Trivandrum. Les nominations dans les Églises unies à Rome doivent être confirmées par le pape.

 

Le pape a aussi reçu ce vendredi matin au Vatican les 300 délégués d’associations et de mouvements qui ont participé en 2024 aux Arènes de la Paix à Vérone. Parmi eux, l’Israélien Maoz Inon et le Palestinien Aziz Sarah qui avaient témoigné l’an passé devant le pape François et dont l’histoire avait ému tous les participants, ces deux hommes ayant perdu des proches dans le long conflit opposant Israël au Hamas, avant même le 7 octobre. Ce fut l’occasion pour le pape Léon XIV dans un discours aux accents bergogliens de les remercier pour leur engagement quotidien en faveur de la paix et de souligner combien la société avait besoin de témoins d’un style de vie non-violent, tout en disant que toute construction de paix qui doit commencer par le fait de se mettre du côté des victimes, partageant leur point de vue, et la paix n’est en fait possible que «quand les différences et la conflictualité qu’elles entrainent ne sont pas supprimées mais reconnues, prises en compte et surmontées» (https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2025-05/leon-xiv-discours-associations-mouvements-arenes-paix-verone.html).

 

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Publié le 29 Mai 2025

Sabine Kleyboldt pour KNA nous montre que des milliers de personnes ont été attirées dans la campagne ce jeudi – y compris le pape. Le jour de l'Ascension est une fête importante à laquelle ses prédécesseurs célébraient la messe au Vatican, et contrairement à son prédécesseur le pape François, aucune messe papale n'a été annoncée dans la basilique Saint-Pierre. Bien sûr, l'Ascension n'est pas un jour férié en Italie - contrairement à l'Allemagne et à l'Autriche, par exemple - donc de telles messes n'ont généralement lieu que le soir. Que le pape Léon XIV ait certainement pensé à la fête de l'Ascension était déjà évident dans son salut aux pèlerins germanophones lors de l'audience générale : «Chers frères et sœurs germanophones, la solennité de l'Ascension qui approche oriente notre regard vers le ciel. Elle nous rappelle en même temps la mission que Jésus-Christ nous a confiée ici-bas», a déclaré le pape Léon XIV mercredi.

 

Mais le pape Léon XIV était en déplacement professionnel dans un vignoble biologique au lieu de la basilique Saint-Pierre. Le pape Léon XIV a visité l'éco-projet «Laudato si» à Castel Gandolfo près de Rome le jour de l'Ascension. Ce projet a fait convertir une partie des jardins en agriculture biologique et en vignoble biologique. Le projet offre aux migrants, aux réfugiés, aux personnes socialement défavorisées et aux personnes handicapées la possibilité de travailler et de recevoir une formation. Le pape a déjà exprimé dans des déclarations au cours des trois dernières semaines que l’environnement et la durabilité sont importants pour lui. À cette occasion, le pape, élu il y a trois semaines, était également présent au Palais pontifical, comme l'a annoncé jeudi la Salle de presse du Vatican. Le pape Léon XIV était attendu de retour au Vatican en début d'après-midi.

 

Enfin, Jésus Bastante nous montre sur religiondigital.org (https://www.religiondigital.org/vaticano/Papa-anabaptistas-unidos-cristianos-testimonio_0_2783721630.html) que pour  les 500 ans du mouvement anabaptiste, le pape Léon XIV a envoyé un message aux participants aux événements commémoratifs qui se déroulent à Zurich, appelant à l'unité au milieu de «notre monde déchiré par la guerre» soulignant le «grand don de la paix», et il a insisté sur la nécessité pour «les catholiques et les mennonites de faire tout leur possible pour vivre le commandement de l'amour, l'appel à l'unité chrétienne et le mandat de servir son prochain», ainsi que d'avoir «honnêteté et bienveillance dans la réflexion sur notre histoire commune, qui comprend des blessures douloureuses et des récits qui influencent les relations et les perceptions catholiques-mennonites à ce jour».

 

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Publié le 28 Mai 2025

vaticannews.va nous montre qu’à l’issue de l’audience générale de ce mercredi 28 mai place Saint-Pierre, le Souverain pontife a «renouvelé avec force» son appel à «arrêter les conflits» en particulier en Ukraine en tournant ses pensées «vers le peuple ukrainien touché par de nouvelles attaques graves contre les civils et les infrastructures», à Gaza où «s’élèvent des cris de mères, de pères qui serrent les corps sans vie de leurs enfants», et «qui sont continuellement obligés de se déplacer à la recherche d'un peu de nourriture et d'un abri plus sûr, contre les bombardements» et dans d’autres parties du monde «où les gens souffrent de la guerre». Le Saint-Père a «assuré de sa proximité et de ses prières envers toutes les victimes, en particulier les enfants et les familles»,  tout en invitant chacun des fidèles de prier pour la paix en Ukraine, à Gaza et dans d’autres pays du monde où les populations souffrent de la guerre. Le Souverain pontife a ainsi demandé l’intercession de «Marie Reine de la Paix» pour que cessent ces conflits.

 

José Manuel Vidal nous montre ensuite dans religiondigital.org (https://www.religiondigital.org/vaticano/Audiencia-Papa-Leon-XIV-Prevost-roma-Iglesia-miercoles_0_2783421635.html) que dans sa deuxième catéchèse du mercredi, le pape Léon XIV explique, devant 40 000 fidèles réunis place Saint-Pierre, la célèbre parabole du «bon Samaritain», pour inviter les fidèles et l'Église à exercer la compassion concrètement, par des actes, par des faits, comme le faisait le Samaritain, mais comme ne le faisaient ni le prêtre ni le lévite, qui, en passant, démontrent que «la pratique du culte ne conduit pas automatiquement à la compassion». Car, selon le pape François, «la compassion est une question d'humanité et non de religion ! Avant d'être croyants, nous sommes appelés à être humains.»

 

Enfin, après deux mois, le Vatican a rejeté les accusations selon lesquelles le cardinal Robert Francis Prevost (aujourd'hui le pape Léon XIV) et d'autres cardinaux auraient retardé ou dissimulé des cas d'abus au cours des années précédentes.  Le cardinal secrétaire d'État Pietro Parolin a déclaré mardi au portail Vatican News à propos des allégations : «À cet égard, les enquêtes menées par les autorités compétentes, à travers un examen de données objectives et documentaires, ont montré que les cas (...) ont été traités conformément aux normes en vigueur.» À l'époque, les cas avaient été «transmis par les évêques diocésains de l'époque au dicastère compétent pour examen et évaluation des allégations», a poursuivi Parolin : «Les contrôles effectués par les autorités compétentes n'ont révélé aucune irrégularité dans les actions des évêques diocésains.» Il n'a pas précisé quand les tests ont eu lieu ni qui les a effectués (https://www.domradio.de/artikel/kardinal-weist-vorwuerfe-zu-papst-leos-umgang-mit-missbrauch-zurueck).

 

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Publié le 27 Mai 2025

Yann Thompson, Valentine Pasquesoone, et Laure Cometti nous montrent dans le Direct de francetvinfo.fr qu’après deux semaines de débats en première lecture, les députés ont adopté largement avec 305 voix pour et 199 à l'issue d'un scrutin solennel la proposition de loi sur l'aide à mourir, mardi après-midi, permettant à cette réforme sociétale majeure, en gestation depuis plusieurs années, de franchir une étape décisive pour cette réforme mise en chantier en 2022. Ils ont aussi approuvé à l'unanimité un texte plus consensuel sur les soins palliatifs, avec 560 voix pour. "Cette loi, c'est tout sauf la fin des soins palliatifs", a déclaré ministre de la santé Catherine Vautrin à l'Assemblée, face aux craintes d'un investissement insuffisant en faveur des soins palliatifs. Vivement contesté par la majorité des élus de droite et d'extrême droite, mais aussi par une partie du centre et de la gauche, le texte sur l'aide à mourir a finalement recueilli un large soutien. C'est un fait rare à l'Assemblée : les députés n'avaient pas reçu de consigne de vote officielle issue de leur groupe. Même si les grands clivages partisans étaient connus, chaque élu bénéficiait donc d'une liberté de vote ou d'abstention, sans qu'il puisse lui être reproché de trahir son camp. Le Premier ministre a exprimé ses doutes, sur BFMTV, affirmant qu'à ce stade, s'il était député, il "s'abstiendrait" de voter le texte sur l'aide à mourir, sur lequel il a toujours des "interrogations".  

 

«Merci mes chers collègues d’avoir fait de ce débat parlementaire un beau débat parlementaire et d’avoir voté une belle loi républicaine qui porte en son cœur les valeurs de liberté, égalité, fraternité», a déclaré juste après le rapporteur général du texte, le député (Charente-Maritime, divers gauche) Olivier Falorni, qui est engagé depuis de nombreuses années pour qu’un tel droit soit créé. «Je pense à tous les malades et tous leurs proches. Il y a des jours dont on sait qu’on ne les oubliera jamais. Je n’oublierai jamais cette journée», a-t-il poursuivi ému, et étant applaudi par les députés de gauche et du bloc central (https://www.lemonde.fr/societe/live/2025/05/27/en-direct-fin-de-vie-le-vote-de-l-assemblee-nationale-sur-la-proposition-de-loi-relative-aux-soins-palliatifs-a-debute_6608812_3224.html). Il appartient désormais aux sénateurs de se pencher sur ces deux textes, sans doute cet automne. La ministre de la santé Catherine Vautrin espère qu’elle puisse être entérinée avant la présidentielle de 2027. Et Emmanuel Macron salue «une étape importante» après le vote des deux textes par l’Assemblée nationale «dans le respect des sensibilités» (https://www.lemonde.fr/societe/live/2025/05/27/en-direct-fin-de-vie-le-vote-de-l-assemblee-nationale-sur-la-proposition-de-loi-relative-aux-soins-palliatifs-a-debute_6608812_3224.html).

 

Les partisans de l’aide à mourir saluent un «vote historique». «L’heure est à la joie pour celles et ceux d’entre nous qui perçoivent l’espoir d’une fin de vie maîtrisée, épargnée des souffrances inapaisables et des agonies inutiles», a salué Jonathan Denis, président de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD). «Mais l’heure n’est pas au triomphalisme, tant le temps qui s’ouvre aujourd’hui, avant la promulgation de la loi, sera encore trop long pour celles et ceux qui souffrent», a-t-il ajouté. Claire Thoury, membre du Conseil économique, social et environnemental (CESE) et présidente du Comité de Gouvernance de la Convention citoyenne qui a planché en amont sur la fin de vie, a salué «un moment historique sur le plan démocratique» (https://www.lemonde.fr/societe/live/2025/05/27/en-direct-fin-de-vie-le-vote-de-l-assemblee-nationale-sur-la-proposition-de-loi-relative-aux-soins-palliatifs-a-debute_6608812_3224.html).

 

Tandis que les opposants y voient une «transgression majeure» comme les soignants de la société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) ont déploré un «changement fondamental de la mission des soignants». «Ce texte sur l’aide à mourir ne répond pas à des situations d’exception, mais instaure une nouvelle norme du mourir», a déclaré sa présidente, Claire Fourcade. La SFAP a néanmoins salué l’adoption de la proposition de loi sur les soins palliatifs en jugeant qu’elle comporte des «innovations utiles».  La conférence des évêques de France (CEF) qui a l’instar des représentants des autres confessions, est opposée au texte sur le droit à mourir, a redit « sa vive inquiétude ». Les évêques français jugent que l’adoption définitive de ce texte législatif «mettrait profondément à mal le pacte social et le modèle de soins français». Et les ex-militants de La Manif pour tous devenus Le Syndicat de la famille ont dénoncé «la suppression de l’interdit de tuer» perçue comme «une transgression majeure» (https://www.lemonde.fr/societe/live/2025/05/27/en-direct-fin-de-vie-le-vote-de-l-assemblee-nationale-sur-la-proposition-de-loi-relative-aux-soins-palliatifs-a-debute_6608812_3224.html).

 

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Publié le 26 Mai 2025

La rédaction de ledauphine.com avec l’AFP nous montrent que les évêques d'Île-de-France, dont l'archevêque de Paris Laurent Ulrich, ont écrit ce lundi aux parlementaires de leur région pour dénoncer la «pente infiniment dangereuse et mortifère» qu'ouvre selon eux le texte de loi sur l'aide à mourir qui doit être voté en première lecture mardi à l'Assemblée nationale, car «La mort donnée ne peut pas être un soin», affirment les 11 prélats, dont l'archevêque de Paris Laurent Ulrich, dans cette lettre envoyée aux députés et sénateurs d'Île-de-France. Ils soulignent leur «opposition la plus vive et la plus fondamentale à l'euthanasie et au suicide assisté».

 

Les évêques s'inquiètent pour les plus fragiles ou les plus pauvres qui pourraient être «les premiers à se laisser persuader qu'ils sont de trop dès qu'ils seront âgés, malades». Redoutant un texte finalement «peu encadré», ils dénoncent la «stratégie revendiquée de ceux qui comptent, chaque année, demander à étendre progressivement le champ d'application» de la loi pour permettre «l'euthanasie ou le suicide assisté des mineurs, des personnes malades d'Alzheimer, etc.». Ils rappellent que l'actuelle loi Claeys-Leonetti «propose des solutions concrètes, équilibrées, exigeantes et humaines», mais qu'«elle reste insuffisamment connue et appliquée». «S'il s'agit de protéger les plus faibles d'entre nous de souffrances terribles, pourquoi ne pas se tourner résolument, d'abord, vers [les] soins palliatifs ?», demandent-ils.

 

Le 19 mai déjà, la Conférence des évêques de France (CEF) avait incité les fidèles à agir, notamment en interpellant les parlementaires. Les responsables français des principaux cultes avaient eux alerté le 15 mai sur de «graves dérives» et le «basculement radical» découlant selon eux de cette proposition de loi.

 

Cependant, les députés, qui se prononceront définitivement sur les deux propositions de loi (l'aide à mourir, mais aussi les soins palliatifs) le 27 mai, ont ainsi approuvé samedi 24 mai, au cours de débats globalement sereins, la création d'un "droit à l'aide à mourir", dans le cadre des débats sur la proposition de loi sur les soins palliatifs, ils ont approuvé la création d'un "droit opposable" à ces soins, et ont aussi approuvé la création d'un délit d'entrave à l'accès à l'aide à mourir, tout en renforçant la peine encourue (https://www.franceinfo.fr/societe/euthanasie/fin-de-vie-les-deputes-voteront-mardi-27-mai-sur-la-creation-d-un-droit-a-l-aide-a-mourir_7270044.html).

 

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Publié le 25 Mai 2025

José Lorenzo nous montre que l’héritage du pape François continue dans religiondigital.org (https://www.religiondigital.org/vaticano/Leon-XIV-Regina-Coeli-cristianos-laudato_0_2782521725.html) à travers le pape Léon XIV, qui nous a invités, dans les paroles précédant la prière du Regina Caeli, à ne pas nous concentrer sur nos forces individuelles, mais plutôt «sur la miséricorde du Seigneur qui nous a choisis, certains que l'Esprit Saint nous guide et nous enseigne tout». Léon XIV a exhorté les fidèles à s'engager à «porter leur amour partout, en se rappelant que chaque sœur et chaque frère est une demeure de Dieu, et que sa présence se révèle surtout chez les petits, les pauvres et ceux qui souffrent, nous demandant d'être des chrétiens attentifs et compatissants». Le pape a rappelé qu'hier marquait le dixième anniversaire de la signature par le pape François de l'encyclique Laudato si', consacrée à la sauvegarde de notre maison commune et qui a connu une diffusion extraordinaire. Il a également rappelé la célébration, la veille, d'une journée de prière pour l'Eglise en Chine. Enfin, il a conclu en demandant des prières pour «tous les peuples souffrant de la guerre», ainsi que «du courage et de la persévérance pour tous ceux qui s'engagent dans la recherche de la paix».

 

Hier, comme nous le montre religiondigital.org (https://www.religiondigital.org/vaticano/Leon-XIV-renovar-dialogo-construyendo-planeta-cuidado-ladato_0_2782221754.html) le pape Léon XIV a exhorté à «renouveler le dialogue sur la manière dont nous construisons l'avenir de la planète», dans un message sur le réseau social X à l'occasion du dixième anniversaire de la publication de l'encyclique «Laudato Si». "Cette encyclique du pape François nous appelle à renouveler le dialogue sur la manière dont nous construisons l'avenir de la planète, à nous unir dans la poursuite d'un développement durable et intégral et à protéger la maison commune que Dieu nous a confiée", a écrit le pape américain sur le réseau social. Le pape a fait écho à la préoccupation de son prédécesseur pour l'environnement, exprimée dans le message vidéo qu'il a envoyé à une réunion de recteurs d'universités des Amériques et de la péninsule ibérique à Rio de Janeiro, dans lequel il les a exhortés à «œuvrer pour la justice écologique, sociale et environnementale». Cette réunion avait également pour objectif de préparer le sommet sur le climat COP30, qui se tiendra dans la ville amazonienne de Belém, et auquel le nouveau pape a été invité par le gouvernement brésilien de Luiz Inácio Lula Da Silva.

 

Enfin, domradio.de (https://www.domradio.de/artikel/vatikan-mitarbeiter-feiern-papst-leo-xiv) nous montre que le pape Léon XIV a reçu en audience samedi les employés du Vatican et leurs familles. Les quelque 5000 personnes ont célébré le pape par des applaudissements et des cris de «Viva il Papa» pendant la réunion qui a duré près d'une heure dans la salle d'audience du Vatican. L'homme de 69 ans a mis environ une demi-heure pour saluer et bénir personnellement des centaines d'employés avec de jeunes enfants. Il avait auparavant remercié le personnel du Vatican pour son travail dans un bref discours. Ils ont accueilli sa remarque à moitié plaisante : «Les papes vont et viennent, mais la Curie reste», par des rires et des applaudissements. À plusieurs reprises, Léon XIV rappelle son prédécesseur le pape François et sa réforme de la Curie lançant un appel très clair : «Servez la communion, l'unité, dans la charité et la vérité.», et il a tenu à rappeler «la dimension missionnaire de la Curie et de toute institution liée au ministère pétrinien» (https://www.religiondigital.org/vaticano/Primera-XIV-Vaticano-Papas-Curia_0_2782221753.html).

 

Par leur intermédiaire, l’appareil dirigeant de l’Église catholique mondiale a été mis au service de la proclamation. Le pape n’a pas prononcé de discours programmatique sur lequel certains avaient déjà spéculé; et il même déclaré que "Ce n'est certainement pas le moment de faire des discours programmatiques" (https://www.religiondigital.org/vaticano/Primera-XIV-Vaticano-Papas-Curia_0_2782221753.html). Son discours n’a duré que quelques minutes. Quelques phrases seulement ont fait réagir les gens. Il a souligné le rôle du Vatican comme lieu de transmission de la tradition. Il a dit littéralement : «la Curie est l'institution qui préserve et transmet la mémoire historique de l'Église. (...) La mémoire est essentielle à un organisme vivant : elle ne se tourne pas seulement vers le passé, elle nourrit le présent et indique la voie à suivre pour l'avenir. Sans mémoire, on se perd.»

 

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Publié le 24 Mai 2025

Ouest-France.fr nous montre que le Premier ministre a mis en ligne ce samedi 24 mai 2025, sur un site internet dédié, une série de documents destinés à se défendre contre les accusations qui le visent dans l’affaire Bétharram. Il s’agit des pièces qu’il avait produites lors de son audition à l’Assemblée nationale, affirmant qu’elles prouvent «l’inanité» des accusations qui le visent. Sur le site Bayrou.fr, on peut retrouver le texte de son intervention liminaire devant la commission d’enquête, une chronologie de l’affaire, et une série de documents qui, selon lui, permettent de réfuter six accusations portées contre lui. Parmi elles : «François Bayrou a menti à l’Assemblée nationale» ou «François Bayrou est intervenu auprès de la Justice» ou encore «François Bayrou a bénéficié d’informations privilégiées».

 

Ces affirmations sont ensuite démenties une par une. Il est donc possible de consulter le rapport d'inspection réalisé en 1996 et n'ayant conclu à aucun dysfonctionnement dans l'établissement, comme les différents courriers échangés entre le directeur de Bétharram et l'inspecteur d'académie. Le maire de Pau revient également sur ses relations avec le père Silviet-Carricart, mis en examen pour viol avant son suicide en 2000, et avec le juge Christian Mirande, chargé de l'enquête dès 1998. "Si ma présence comme cible politique a permis que ces faits apparaissent, ce MeToo de l’enfance, alors cela aura été utile !" écrit François Bayrou, avant de s'interroger : "Pourtant pour moi, plus important encore est le devoir qui s’impose à nous : comment faire pour que de tels comportements puissent à l’avenir être efficacement repérés, efficacement combattus, efficacement bannis, efficacement réparés ?" (https://www.tf1info.fr/politique/affaire-college-lycee-catholique-betharram-premier-ministre-francois-bayrou-publie-les-preuves-destinees-a-prouver-son-innocence-2372793.html).

 

François Bayrou avait été entendu pendant plus de cinq heures le 14 mai par les députés de la commission d’enquête sur les violences en milieu scolaire à propos de l’établissement Notre-Dame-de-Bétharram. Le chef du gouvernement avait alors rejeté avec virulence les accusations de mensonge ou d’intervention dans les années 1990 auprès de la justice dans l’affaire des violences physiques et sexuelles dans ce collège-lycée, situé près de sa ville de Pau, où une partie de ses enfants avaient été scolarisés et où son épouse enseignait le catéchisme.

 

François Bayrou était déjà dans les années 1990 un homme politique influent dans sa région du Béarn. Et il a occupé les fonctions de ministre de l’Éducation nationale de 1993 à 1997. Le leader centriste estime faire l’objet d’attaques politiques de la part notamment de députés de la France insoumise (LFI). À l’issue de son audition très tendue devant la commission, le parlementaire insoumis Paul Vannier avait affirmé que les débats avaient permis de montrer que François Bayrou avait «menti» lorsqu’il avait été interrogé pour la première fois en février à l’Assemblée sur sa connaissance des faits commis à Bétharram. L’établissement catholique, sous contrat avec l’État, est aujourd’hui visé par plus de 200 plaintes d’anciens élèves pour des violences physiques et sexuelles.

 

Début mai, le parquet de Pau avait demandé à être dessaisi des plaintes visant François Bayrou dans le dossier de l'affaire Bétharram, le procureur évoquant ses relations institutionnelles avec le maire de Pau. Le parquet de Tarbes s'en chargera, a-t-on appris ce vendredi. Deux plaintes ont été déposées contre François Bayrou. Un ancien élève de l'établissement a porté plainte pour "non dénonciation de crime ou délit". L'autre plainte a été déposée par l'avocat Me Jean-François Blanco, également élu d'opposition à la mairie de Pau. Il s'agit d'une plainte pour "entrave à la justice", concernant une supposée intervention de Bayrou dans l'affaire Carricart (https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/affaire-betharram-les-plaintes-visant-francois-bayrou-finalement-traitees-par-le-parquet-de-tarbes-5311774).

 

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Publié le 23 Mai 2025

religiondigital.org nous montre que le pape Léon XIV a rencontré ce vendredi des représentants de la Commission des conférences épiscopales européennes (Comece) et a souligné l'importance de travailler pour une paix juste en Ukraine, sans toutefois donner de détails sur le Vatican comme lieu des négociations. En réponse à l'offre du pape d'accueillir le Vatican pour d'éventuelles négociations entre la Russie et l'Ukraine, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a qualifié lundi cette possibilité d'"irréaliste". «Toute initiative, alors que des soldats et des civils meurent chaque jour, et je parle des soldats des deux côtés, et chaque effort et chaque aide pour le dialogue sont important», a déclaré l'évêque du diocèse lituanien de Vilkaviškis, Rimantas Norvila, qui faisait partie de la délégation de la Comece qui a rencontré le pape Léon XIV.

 

Au cours de l'entretien avec le pape, la «faiblesse de l'Union européenne» sur plusieurs questions a également été évoquée, ont expliqué les évêques européens. Le pontife américain a également exprimé son inquiétude quant au réarmement. "Cette question a été soulevée directement par le pape, en réaction à des choses qui étaient dites, et il a réitéré sa préoccupation que les secteurs les plus faibles, les plus fragiles de la société, ne paient pas le prix du réarmement", a ajouté le président de la Comece, Mariano Crociata. Le pape Léon XVI a également souligné aux évêques «la nécessité d'accompagner les jeunes et les familles» et que c'est «le rôle de l'Église en Europe».

 

Le pape Léon XIV doit rencontrer samedi 24 mai les responsables de la Curie, qui attendent de connaître les éventuels changements qu’il pourrait apporter à l’organisation des services du Vatican. Sa première nomination, jeudi 22 mai, a été celle d’une femme au poste de secrétaire du dicastère pour la vie consacrée, Tiziana Merletti, ancienne supérieure générale des sœurs franciscaines des pauvres (https://www.la-croix.com/religion/leon-xiv-apres-les-reformes-de-francois-la-curie-romaine-attend-les-decisions-du-nouveau-pape-20250523), ce qui montre une continuité dans la ligne du pape François d’un plus grand rôle des femmes dans l’Église.

 

Cet héritage du pape François est confirmé par le cardinal Jozef De Kesel qui juge qu’il a contribué à l’élection rapide du nouveau pape à travers une Église «plus humble, plus proche des gens, ouverte au monde », qui « partage les joies mais aussi les tristesses et les angoisses de l’homme d’aujourd’hui», et à propos du nouveau pape Léon XIV, il salue une continuité profonde avec son prédécesseur argentin, sans toutefois être une simple "copie", et il pourrait être celui qui «continuera et consolidera l’héritage du Pape François», en particulier sur la synodalité, la réforme de la curie, ou encore la place des femmes dans l’Église (https://www.cathobel.be/2025/05/les-premiers-pas-de-leon-xiv-sont-dans-la-continuite-de-francois-decrypte-le-cardinal-de-kesel/). 

 

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Publié le 21 Mai 2025

SudOuest.fr avec l’AFP nous montrent que face à la situation «de plus en plus préoccupante et douloureuse» à Gaza, le pape Léon XIV lance ce mercredi un appel «pressant» pour l’acheminement d’une aide humanitaire suffisante et la fin des hostilités, soulignant le lourd tribut payé par les populations civiles, «dont le prix atroce est payé par les enfants, les personnes âgées et les malades». «La situation dans la bande de Gaza est de plus en plus préoccupante et douloureuse», a également déploré le pape lors de son audience générale hebdomadaire en public place Saint-Pierre, la première depuis son élection. Le 11 mai, le pape s’était déjà dit «profondément attristé par ce qui se passe dans la bande de Gaza», et avait appelé à ce «que les hostilités cessent immédiatement, que de l’aide humanitaire soit apportée à la population civile épuisée et que tous les otages soient libérés».

 

Cet appel du pape intervient alors que l’ONG Médecins sans frontières a accusé mercredi Israël de ne laisser entrer à Gaza qu’une aide «ridiculement insuffisante» face aux besoins du territoire, seulement pour ne pas être accusé «de famine imposée à la population». L’aide autorisée dans la bande de Gaza, une centaine de camions depuis lundi selon les autorités israéliennes, «n’est qu’un écran de fumée», selon MSF, puisque c’«est une manière d'instrumentaliser l'aide, en la transformant en outil au service des objectifs militaires des forces israéliennes» (https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2025-05/pape-leon-xiv-gaza-appel-audience-generale.html), alors que le siège, qu’Israël a imposé à Gaza début mars pour forcer le Hamas à libérer les otages qu’il détient encore, «se poursuit».

 

Libération.fr (https://www.liberation.fr/international/europe/gaza-malgre-les-pressions-europeennes-israel-poursuit-les-bombardements-20250521_3NTHCYORLVE3RD5PBRAENHL3ZI/) nous montre que les pressions et la colère de plusieurs pays occidentaux comme l'Union européenne qui a ainsi annoncé mardi 20 mai qu'elle allait lancer un réexamen de son accord d'association avec Israël, de son côté, le Royaume-Uni a annoncé suspendre ses négociations pour un accord de libre-échange avec Israël, et La veille, le président français Emmanuel Macron et les Premiers ministres britannique Keir Starmer et canadien Mark Carney s'en étaient pris aux "actions scandaleuses" du gouvernement israélien, promettant des sanctions ou encore la reconnaissance d'un État palestinien (https://www.france24.com/fr/moyen-orient/20250521-trump-ue-isolement-isra%C3%ABl-prend-ampleur-drame-gaza-netanyahu-hamas), n’y ont rien changé : Israël a poursuivi mercredi son offensive visant à annexer la bande de Gaza. Ses attaques ont tué au moins 82 personnes, dont 14 membres d’une même famille à Khan Younes, dans le sud, et un nourrisson d’une semaine dans le centre de l’enclave, selon le ministère de la Santé et des sources hospitalières.

 

L’incident à Jénine, où des tirs de sommation israéliens ont interrompu une visite diplomatique organisée par l’Autorité palestinienne à Jénine, en Cisjordanie occupée, accentue la pression internationale sur Israël concernant sa gestion du conflit à Gaza. Toute menace contre la vie de diplomates est «inacceptable», a immédiatement réagi à Bruxelles Kaja Kallas, la cheffe de la diplomatie européenne. L’Allemagne, la Belgique, l’Espagne, les Pays-Bas, l’Irlande et l’Égypte ont également condamné les tirs, Rome, Paris et Lisbonne annonçant pour leur part convoquer les ambassadeurs d’Israël. L’Autorité palestinienne a dénoncé un «crime odieux commis par les forces d’occupation israéliennes». De son côté, l’ONU a réclamé une «enquête minutieuse» des autorités israéliennes sur cet acte «inacceptable» (https://www.sudouest.fr/international/moyen-orient/israel/en-cisjordanie-des-diplomates-etrangers-vises-par-des-tirs-israeliens-vague-d-indignation-internationale-24538672.php).

 

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