Une théologienne de l'université Notre Dame retweet que "Jésus était un socialiste du Moyen-Orient ..." dans une interview à The O'Reilly Factor
Publié le 31 Octobre 2013
cardinalnewmansociety.org nous montre dans un article du 18 novembre 2013 qu'au sein de l'Université de Notre Dame, à South Bend, dans l'Indiana, le professeur de théologie Candida Moss, qui a fait la une l'an dernier avec son livre The Myth of Persecution: How Early Christians Invented a Story of Martyrdom, qui affirmait que l'Église au début a fabriquée des comptes rendus de martyrs et des persécutions afin de financer les églises, du fait que les récits des premiers martyrs chrétiens ont été modifiés, édités et mis en forme par des générations ultérieures de chrétiens et aucuns de ces récits ne sont complètement historiquement exacts, elle est maintenant en train de promouvoir l'idée que Jésus était un socialiste ou un collectiviste.
Avant de faire une apparition sur Fox New dans "The O'Reilly Factor", Moss retweeta que "Jésus était un socialiste du Moyen-Orient qui avait nourri les pauvres et plaidé en faveur de la gratuité des soins." En réponse Bill O'Reilly avait écrit : "D'accord !" Et malgré que Moss avait écrit un avis peu favorable au livre de O'reilly, Killing Jesus au The Daily Beast, elle avait signalé le fait qu'"il n'y a aucune mention de la gratuité des soins offert par Jésus et ses disciples, ou l'insistance que les riches donnent leurs biens" comme elle le souligna durant le show.
Elle avait dit également "La seule doctrine sociale la plus cohérente du Nouveau Testament, que les chrétiens doivent prendre en charge les pauvres, les veuves et les orphelins, mais cela devient presque une mention pour le meurtre de Jésus." Comme elle l'avance Jésus est mort, parce qu'il était un démagogue qui troublait la paix et a défié les autorités. Jésus n'est pas mort pour nos péchés. Même si les actions de Jésus avaient touché le sujet des impôts, il est mort en protestant contre le système d'imposition squelettique envers les riches privilégiés.
Dans cette édition du O'Reilly Factor, Moss déclara : "C'est de réputation historique que Jésus avait enseigné aux gens que pour aller au ciel, ils devaient céder leurs biens." O'Reilly rétorqua : "Si vous voulez en rester là , professeur, et si vous me disiez en tant que professeur de théologie à Notre-Dame que tout le monde doit vendre ses biens, et que s'ils font autrement ils ne peuvent pas avoir quelque chose ou aller au paradis, je vous direz que vous êtes dingue". Moss répondit en déclarant : "Jésus n'est pas un capitaliste travaillant pour le marché." Tout en disant : "Jésus est quelqu'un qui pense que notre première obligation sont les autres personnes ".
Le lendemain, Moss alla à l'émission de Stuart Varney sur le réseau Fox Business et déclara : "Je dirais que Jésus est un collectiviste". Elle avait ensuite poursuivi en disant que, lorsque Jésus retourna les tables dans le Temple de Jérusalem, on pourrait faire valoir que c'était à propos d'une réglementation bancaire plus stricte.
Bill Dempsey de Sycamore Trust, un organisme voué à la promotion de l'identité catholique dans l'Université Notre Dame, déclara à l'éducation catholique Quotidien, "Si Moss est de droite, l'Église a induite en erreur ses membres depuis 2000 ans de la pire façon possible. Et Notre Dame échoua envers ses donateurs en ne les avertissant pas qu'ils risquaient la damnation s'ils ne donnaient pas tout ce qu'ils ont". Dempsey a appelé la vision du Jésus de Moss comme un embarras pour l'université. "L'université Notre Dame avait pris un autre voie", avait-il dit .
Ce qui est dommage, c'est que rien de ce qu'elle dit ne va à l'encontre des dogmes définis ou des doctrines de l'Église. On se moque d'elle alors que ses positions ne semblent ni hérétiques, ni théologiquement dissidentes, mais historique et politique. Elle a juste essayé de donner une conception politique actuelle à Jésus.
Merci !