Publié le 31 Janvier 2024

katholisch.de nous montre ce mercredi 31 janvier 2024 que l'archevêque de Malte et confident du pape Charles Scicluna a récemment appelé à une «discussion sérieuse» sur le célibat dans l'Église. Selon lui, l'abrogation pourrait être un moyen d'empêcher le clergé de mener une double vie. L'archevêque a souligné : «Cela ne vise pas à diminuer la beauté du célibat ou l'engagement héroïque des personnes qui ont accepté le célibat comme un don et qui le vivent». Maintenant, il confirme tout également en faisant référence à «différentes situations de vie».

 

Scicluna avait déjà appelé à une «discussion sérieuse» sur le célibat dans une interview début janvier. "Pourquoi devrions-nous perdre un jeune homme qui aurait été un bon prêtre simplement parce qu'il veut se marier ?", a déclaré l'archevêque il y a quelques semaines. Le célibat était volontaire au cours du premier millénaire de l’existence de l’Église – «et il devrait redevenir volontaire». Scicluna a souligné qu'en raison de leur célibat, certains prêtres entretenaient des relations secrètes, qui dans certains cas aboutissaient à des enfants. Il s’agit d’une «réalité mondiale».

 

Dans l'interview actuelle, Scicluna, qui est secrétaire adjoint du Dicastère pour la doctrine de la foi du Vatican et considéré comme «l'enquêteur en chef» du pape François sur les cas d'abus, a déclaré que ce travail l'avait aidé à façonner son point de vue, même s'il n'y avait aucun lien entre le célibat sacerdotal et les abus des prêtres l'ont laissé être fabriqué. "Lorsque vous voyagez beaucoup et rencontrez d'autres personnes, vous réalisez que les gens se trouvent dans des situations de vie différentes", a déclaré l'archevêque. "L'expérience nous enseigne que nous devons prendre en compte la fragilité humaine et le fait que les gens évoluent dans des situations différentes ; ils se retrouvent dans une situation psychologique et spirituelle différente." L’avenir du célibat est quelque chose que l’Église «devra décider au plus haut niveau».

 

L’année dernière, le pape François n’a pas exclu d’abolir le célibat obligatoire des prêtres. Il n’y a «aucune contradiction qu’un prêtre puisse se marier», disait alors le pape François. Il considère le célibat dans l’Église occidentale comme «une réglementation temporaire» qui – contrairement à l’ordination – n’a pas de caractère éternel. Il considère également qu'une décision volontaire concernant le célibat avant l'ordination sacerdotale est envisageable. Cependant, dans un livre d'entretiens publié en octobre, le  pape François a indiqué qu'aucune décision ne serait prise à ce sujet au cours de son pontificat : "Laissons mon successeur en décider s'il le juge opportun".

 

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Publié le 30 Janvier 2024

katholisch.de nous montre ce mardi 30 janvier 2024 que le vice-président du ZdK, Thomas Söding, est convaincu est convaincu que le Chemin synodal sera un succès. Il y a certainement des "problèmes de communication" et des réserves sur les prétendues "ambitions excessives" du projet de réforme, dit Söding, selon le communiqué, lors d'une conférence en ligne des "Cours de théologie" à l'"Akademie am Dom" de Vienne (lundi). Il fut cependant surpris par la crainte qu'un conseil synodal ne porte atteinte à la fonction d'évêque. Après tout, ce sont les évêques qui ont soutenu à une large majorité la création d’un conseil synodal et ont considéré que la voie était la bonne.

 

Dans sa conférence, Söding a également abordé la communication avec le Vatican. "Nous ne voulons pas être en désaccord avec Rome, mais plutôt rendre la synodalité permanente - et pour cela, nous avons également besoin du sceau d'approbation romain." Il attend donc avec impatience la visite annoncée en Allemagne du préfet du dicastère de la Foi, le cardinal Víctor Fernández. "Sa visite est un bon signe", a déclaré Söding.

 

L’un des points communs des processus de réforme au niveau de l’Église mondiale, en Amérique latine, en Australie et en Allemagne, est leur ouverture. Il n’existe toujours pas de recette pour le fonctionnement synodal de l’Église. «L'Église ne sait toujours pas comment combiner ses structures épiscopale et synodale», a déclaré Söding. Le but ici est de trouver un «bon équilibre» avec l’aide de la théologie.

 

Au niveau mondial, Söding manque d’un débat et d’un soutien théologiques fondés. "Les synodes ont besoin de théologie, mais ils ne l'ont pas encore." Cela signifie une réflexion des débats sur le fond de l'Écriture, de la tradition, de la foi du peuple de Dieu, du magistère et d'autres sciences. Un tel soutien théologique pourrait "élever la qualité des consultations et promouvoir la compétence de chacun", a déclaré le professeur de théologie, qui a participé comme conseiller théologique à la première phase du synode mondial de Rome.

 

Enfin, le document de bénédiction «Fiducia supplicans» a connu de nombreux vents contraires, notamment en provenance d'Afrique. Le porte-parole des évêques africains, le cardinal Fridolin Ambongo Besungu, a également critiqué le timing de la publication, en vue du synode mondial et a déclaré que beaucoup de gens ont déjà vu que la première partie du synode d'octobre dernier avait au moins indirectement approuvé les couples homosexuels et l'homosexualité. Cependant, cela contredit à la fois les enseignements fondamentaux de la foi catholique et de la culture africaine (https://www.katholisch.de/artikel/50724-kardinal-veroeffentlichungstermin-von-segensdokument-war-schaedlich).

 

Cependant pour le pape «ceux qui protestent avec véhémence appartiennent à de petits groupes idéologiques», et même si l’Afrique est à part d'une manière générale, il est «persuadé que, petit à petit, tout le monde se tranquillisera sur l'esprit de la déclaration» qui «veut inclure et non diviser. Elle invite les gens à être accueillis, puis confiés à Dieu» (https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2024-01/pape-francois-stampa-italie-interview-guerre-voyages-paix.html).

 

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Publié le 29 Janvier 2024

religiondigital.org nous montre ce lundi 29 janvier 2024 que le pape François assure que malgré les protestations de «petits groupes idéologiques», avec l'approbation récente de la bénédiction des couples homosexuels ou en situation irrégulière pour l'Église, l'intention est «d'inclure et non de diviser» car «l'Évangile est pour sanctifier tout le monde.»

 

"On me demande pourquoi. Je réponds : l'Évangile doit sanctifier tout le monde. Bien sûr, à condition qu'il y ait de la bonne volonté", dit-il aujourd'hui dans une interview au journal italien "La Stampa" à propos de la déclaration "Fiducia supplicans", qui autorise la bénédiction des couples homosexuels ou des couples divorcés remariés. "Et des instructions précises doivent être données sur la vie chrétienne (j'insiste sur le fait que ce n'est pas l'union qui est bénie, mais le peuple). Mais nous sommes tous pécheurs : pourquoi alors faire une liste des pécheurs qui peuvent entrer dans l'Église et une liste des pécheurs qui ne peuvent pas rester dans l'Église ? Ce n'est pas l'Évangile", ajoute-t-il.

 

Le pape souligne que «ceux qui protestent avec véhémence appartiennent à de petits groupes idéologiques» et que «un cas à part est celui des Africains : pour eux, l'homosexualité est quelque chose de «mauvais» culturellement, ils ne la tolèrent pas». "Mais, en général, j'espère que peu à peu chacun s'apaisera sur l'esprit de la déclaration 'Fiducia Supplicans' du Dicastère pour la doctrine de la foi : elle veut inclure et non diviser. Elle nous invite à accueillir et ensuite confier les gens et avoir confiance en Dieu", ajoute-t-il. Pour cette raison, le pape François ne craint pas de schisme : "Non. Dans l'Église, il y a toujours eu des petits groupes qui exprimaient des réflexions de couleur schismatique ... il faut les laisser faire et passer... et regarder en avant", assure-t-il.

 

Le pape explique son opposition à parler de guerre «juste», préférant dire qu'il est légitime de se défendre, mais évitant de «justifier les guerres, qui sont toujours néfastes». Il dit craindre une escalade militaire mais cultive une certaine espérance «parce que des rencontres confidentielles ont lieu pour essayer de parvenir à un accord. Une trêve serait déjà un bon résultat». François qualifie de «figure cruciale» le cardinal Pierbattista Pizzaballa, qui «agit bien» et tente une médiation. Il appelle chaque jour en vidéo la paroisse de Gaza et affirme que «la libération des otages israéliens» est une priorité. En ce qui concerne l'Ukraine, le successeur de Pierre rappelle dans l'interview la mission du cardinal Zuppi : «Le Saint-Siège essaie de servir de médiateur pour l'échange de prisonniers et le retour des civils ukrainiens. Nous travaillons notamment avec Maria Lvova-Belova, commissaire russe aux droits de l'enfant, pour le rapatriement des enfants ukrainiens emmenés de force en Russie. Certains sont déjà retournés dans leur famille» (https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2024-01/pape-francois-stampa-italie-interview-guerre-voyages-paix.html).

 

Le pape aborde ensuite le thème de son tout récent message pour la Journée mondiale des communications sociales, consacré à l'intelligence artificielle, qu'il décrit comme «un beau pas en avant qui peut résoudre de nombreux problèmes, mais qui peut aussi, s'il est géré sans éthique, causer beaucoup de tort à l'humanité». L'objectif est qu'elle «soit toujours en harmonie avec la dignité de la personne», sinon «ce sera un suicide» (https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2024-01/pape-francois-stampa-italie-interview-guerre-voyages-paix.html).

 

Lorsqu'on lui a demandé s'il se sentait seul, le pape a dit : "Si je me sens seul, je prie. Et quand je perçois des tensions autour de moi, j'essaie d'organiser des dialogues et des confrontations en paix. Mais j’avance toujours, jour après jour" (https://www.katholisch.de/artikel/50693-papst-franziskus-befuerchtet-keine-kirchenspaltung). Et concernant les rumeurs d'une éventuelle démission en raison de son état de santé, il assure qu'elles ne le dérangent pas, car "c'est une possibilité pour tout pontife". "Mais maintenant, je n'y pense plus. Cela ne m'inquiète pas. Quand je n'en pourrai plus, je finirai par y penser. Et à prier pour nous", conclut-il.

 

Il évoque ses prochains voyages en Belgique, au Timor oriental, en Papouasie-Nouvelle-Guinée et en Indonésie au mois d'août. Il met entre parenthèses l'hypothèse d'un voyage en Argentine et précise qu'il ne s'est pas senti blessé par les propos du président Milei pendant la campagne électorale. Il confirme une rencontre avec le nouveau chef de l’État argentin dans les prochains jours, juste après la canonisation de l’Argentine "Mama Antula" prévue le 11 février. Il affirme être prêt au dialogue (https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2024-01/pape-francois-stampa-italie-interview-guerre-voyages-paix.html).

 

Enfin, le pape réitère son rêve d'une «Église en sortie» et se remémore ce qui s'est passé après ses propos lors des congrégations générales qui ont précédé le conclave en 2013: «Après mon discours, il y a eu des applaudissements, du jamais vu dans ce contexte. Mais je n'avais absolument pas deviné ce que beaucoup allaient me révéler plus tard: ce discours était ma "condamnation" (sourires). En sortant de la "salle du synode", un cardinal anglophone m'a vu et s'est exclamé: "C'est bien ce que vous avez dit! Bello. Bello. Magnifique. Nous avons besoin d'un Pape comme vous! Mais je n'avais pas remarqué la campagne qui se préparait pour m'élire. Jusqu'au déjeuner du 13 mars, ici à la Maison Sainte-Marthe, quelques heures avant le vote décisif. Pendant que nous mangions, on m'a posé deux ou trois questions "suspectes"... Dans ma tête, j'ai commencé à penser qu’il se passait "quelque chose d'étrange ici...". Mais j'ai quand même réussi à faire une sieste. Et quand ils m'ont élu, j'ai eu une surprenante sensation de paix en moi». Enfin, le pape François confie à La Stampa qu'il se sent comme «un curé, d'une très grande paroisse, planétaire, bien sûr, mais j'aime garder l'esprit d'un curé. Et être parmi les gens. C'est là que je trouve toujours Dieu» (https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2024-01/pape-francois-stampa-italie-interview-guerre-voyages-paix.html).

 

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Publié le 27 Janvier 2024

RCF.fr  nous montre dans son article du vendredi 26 janvier 2024  que depuis une semaine et le début des manifestations de nombreux évêques affichent leur soutien aux agriculteurs. En Occitanie, en Bretagne ou encore dans les Hauts de France, les prélats disent comprendre l’exaspération de la profession et appellent à respecter le travail et la dignité du monde paysan

 

Les évêques de Carcassonne et Narbonne, Mende, Montpellier, Nîmes et Perpignan-Elne ont publié jeudi une déclaration de soutien aux agriculteurs. Ils demandent entre autres "que soit reconnu le caractère vital de votre profession [d'agriculteur] pour nos familles, notre pays et la noblesse de votre métier". Toujours dans le sud de la France, Mgr Jean-Marc Micas évêque de Tarbes et Lourdes a voulu lui aussi assurer les agriculteurs de son diocèse de sa proximité en se rendant en début de semaine sur un barrage de l’A64 relate Vatican News. L’évêque dit comprendre les agriculteurs qui "ressentent vivement leur quotidien devenu très injuste et difficile".

 

En Bretagne, les quatre évêques de la région ont co-signé jeudi une déclaration en soutien aux agriculteurs. L'archevêque de Rennes, Pierre d’Ornellas, l'évêque de Vannes, Raymond Centène, l'évêque de Quimper, Laurent Dognin, et l'évêque de Saint-Brieuc, Denis Moutel, y saluent le "travail que vous accomplissez pour produire la nourriture dont les humains et toutes les familles ont besoin pour vivre, et des efforts accomplis pour protéger notre maison commune".

 

Enfin à Amiens. Mgr Gérard Lé Stangue, lui-même fils et frère d’agriculteur évoque la faiblesse des revenus des producteurs. "La protestation de base, c’est d’être reconnu dans leur dignité. Cela passe par la justice et cette justice c’est d’avoir des revenus corrects pour vivre" explique-t-il sur RCF. "Il y a un gros travail à faire avec ceux qui ont en charge la préservation de l’environnement, mais cela ne doit pas empêcher l’estime que l’on doit aux agriculteurs. Ce sont eux qui nourrissent le monde" rappelle-t-il.

 

Les annonces de Gabriel Attal entre l’abandon de la hausse de la taxe sur le gazole non routier (GNR), des indemnités gonflées pour les éleveurs touchés par la maladie des bovins MHE, des sanctions lourdes contre trois industriels de l’agroalimentaire ne respectant pas les lois Egalim sur les prix, n’ont visiblement pas suffi à calmer la colère du monde agricole. Des agriculteurs de la FNSEA et des Jeunes agriculteurs (JA) du grand bassin parisien ont annoncé samedi soir 27 janvier qu’ils entameraient lundi un «siège de la capitale». Les agriculteurs de la Coordination rurale du Lot-et-Garonne, l’un des points chauds de la mobilisation en France, avaient un peu plus tôt annoncé leur intention de «monter à Paris» à partir de lundi pour aller bloquer le marché d’intérêt national de Rungis (Val-de-Marne) (https://www.nouvelobs.com/societe/20240127.OBS83791/menaces-de-blocus-les-agriculteurs-vont-ils-encercler-paris-et-rungis-ce-que-l-on-sait.html).

 

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Publié le 26 Janvier 2024

Loup Besmond de Senneville (à Rome), nous montre dans la-croix.com que recevant les membres du dicastère pour la doctrine de la foi, le pape François a défendu, vendredi 26 janvier, sa décision d’autoriser les bénédictions des couples irréguliers, dont ceux formés de personnes de même sexe et de divorcés-remariés. Ces bénédictions, a-t-il insisté, «ne requièrent aucune perfection morale» chez ceux qui les reçoivent. «Pastorales et spontanées», elles ont pour but de «manifester concrètement la proximité du Seigneur et de l’Église à tous ceux qui, se trouvant dans des situations différentes, demandent de l’aide pour poursuivre – et parfois pour commencer – un chemin de foi». Car pour le pape François, Fiducia supplicans, nom du texte autorisant les prêtres à bénir des couples homosexuels ou divorcés remariés, à condition toutefois que ces actes ne s’apparentent jamais à la célébration d’un mariage, est bien un document publié «dans un contexte d’évangélisation».

 

Le pape a aussi tenu à répondre à tous ceux qui attaquent cette décision romaine en y voyant une reconnaissance cachée d’une union entre personnes de même sexe. «Lorsqu’un couple s’approche spontanément pour demander (une bénédiction), on ne bénit pas l’union, mais simplement les personnes qui, ensemble, l’ont demandée.» Si le pape François parle bien de bénédictions demandées «ensemble», il n’évoque pas, contrairement au document du 18 décembre, la bénédiction de «couples» homosexuels. Cette pratique, a admis le pape François, doit tenir compte «du contexte, des sensibilités », mais aussi «des lieux où l’on vit et des manières les plus appropriées de le faire». Un message adressé aux évêques africains qui ont collectivement refusé, jeudi 11 janvier, toute mise en pratique de l’autorisation romaine. «Nous, évêques africains, ne considérons pas comme approprié pour l’Afrique de bénir les unions homosexuelles ou les couples de même sexe parce que, dans notre contexte, cela causerait une confusion et serait en contradiction directe avec l’ethos culturel des communautés africaines», pouvait-on lire dans une déclaration signée par le cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa (RD-Congo) et président du Symposium des conférences épiscopales d’Afrique et de Madagascar (Sceam).

 

Mais les mots du pape François avaient aussi pour objectif de répondre aux critiques s’exprimant, de manière plus feutrée que chez les évêques du monde entier, au sein même du Vatican. Au dicastère pour la doctrine de la foi, plusieurs sources attestent en effet qu’aucune consultation interne sur le texte sur les bénédictions des «couples en situation irrégulière» n’avait été engagée. Certes, le texte a bien été signé par le préfet du dicastère, le cardinal argentin Victor Manuel Fernandez, et le secrétaire placé à la tête de la section doctrinale de ce «ministère» de la Curie, Mgr Armando Matteo. Mais certains responsables de la «Doctrine de la foi», comme on surnomme à Rome les héritiers de la sainte Inquisition, n’avaient pas non plus été avertis, selon nos informations. Pas plus que ne l’avaient été les «membres» du dicastère, parmi lesquels plusieurs cardinaux et théologiens comme Christoph Schonborn ou Kurt Koch, qui constituent pourtant l’assemblée dont la mission est de travailler sur les textes doctrinaux de l’Église catholique.

 

Dans son discours, le pape François a appelé les membres du dicastère à "réfléchir à nouveau et avec plus de passion sur certains sujets", tels que "la proclamation et la communication de la foi dans le monde d'aujourd'hui, en particulier parmi les jeunes générations; la conversion missionnaire des structures ecclésiales et des agents pastoraux; les nouvelles cultures urbaines, avec leur fardeau des défis mais aussi des nouvelles questions de sens; enfin et surtout, la centralité de la mission" (https://www.religiondigital.org/corresponsal_en_el_vaticano-_hernan_reyes_alcaide/Francisco-Fiducia-Supplicans-cercania-Iglesia_7_2637106271.html). Et il a aussi confirmé que le dicastère travaillait actuellement sur un document sur la «dignité».  «J’espère qu’il nous aidera, en tant qu’Église, à être toujours proches de tous ceux qui, dans la vie concrète de chaque jour et sans faire de bruit, luttent et paient de leur personne pour défendre les droits de ceux qui ne comptent pas». Un texte d’ores et déjà très attendu, qui pourrait aborder les points les plus sensibles, comme les questions de morale sexuelle, mais aussi celles touchant la situation des migrants

 

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Publié le 25 Janvier 2024

José Manuel Vidal dans religiondigital.org nous montre que dans l'après-midi du 25 janvier 2024, les Vêpres pour la Conversion de Saint Paul et la conclusion de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens ont été célébrées dans la Basilique papale dédiée à l'Apôtre des Gentils, Saint Paul hors les murs. Dans son homélie, le pape François a chanté un hymne à l'unité des chrétiens, car «nous composons tous la 'symphonie de l'humanité', dont le Christ est le premier-né et le rédempteur»

 

Selon lui, c'est la clé de l'unité des chrétiens : l'amour. Car seul un amour qui "au nom de Dieu place la fraternité avant la défense acharnée de son propre système religieux, nous unira". Et parce que «la division ne vient jamais de Dieu, mais du diable». C'est pourquoi il a conclu en remerciant le primat de l'Église anglicane et métropolite Polycarpe, représentant le Patriarcat œcuménique, ainsi que les dirigeants des autres confessions chrétiennes présents à la cérémonie. "Prier est une tâche sainte, car c'est être en communion avec le Seigneur, qui a prié le Père avant tout pour l'unité. Et continuons à prier aussi pour la fin des guerres, notamment en Ukraine et en Terre Sainte", a-t-il déclaré un jour.

 

Le pape a clôturé la semaine de prière pour l’unité des chrétiens sur fond de fortes tensions engendrées par l’autorisation, accordée par le Vatican le 18 décembre, de bénir les couples homosexuels.

 

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Publié le 24 Janvier 2024

Carine Janin pour Ouest-France.fr nous montre ce lundi 23 janvier 2023 que l’anthropologue Laëtitia Atlani-Duault a sollicité les grands leaders religieux et des intellectuels sur le sujet de la fin de vie. Majoritairement opposés à une légalisation d’une aide active à mourir, ils ont exprimé leurs réflexions, dans l’espoir de se faire entendre, alors qu’un projet de loi doit être présenté en février. Ils se sont réunis, mardi 23 janvier, à l’université Paris Cité.

 

La plupart sont opposés à une légalisation de l’aide active à mourir, comme Eric de Moulins-Beaufort, Le président de la CEF, qui s’inquiète que «Depuis des siècles, les hommes et les femmes de religions s’accompagnent pour mourir, ils ont développé une compréhension, des gestes d’accompagnement de la mort, riches de sens. Un sens que l’on risque de perdre» en «cherchant des solutions techniques», insistant insiste cependant à rejeter «la moindre complaisance à l’égard de la souffrance et de la douleur», Haïm Korsia qui redoute «une rupture anthropologique» si on rompt avec ce principe «de ne pas donner la mort», Chems-eddine Hafiz qui en réfère au principe religieux : «Dieu nous a donné la vie, c’est lui qui décide à quel moment il doit la reprendre».

 

Pour Sadel Beloucif, professeur de médecine et président de l’association «L’islam au XXIe siècle», estime que le recours à la sédation profonde et continue, prévue par la loi Claeys-Léonetti de 2016, est «déjà une réponse». Suicide assisté ou euthanasie seraient, pour lui, une «profanation de l’acte de soin». Mais Christian Krieger met en garde : «Ce qui est un droit pour les uns ne doit pas devenir un devoir de partir pour les autres, parce qu’ils se sentent comme un poids pour leurs proches». Mais le président de la Fédération protestante rappelle aussi qu’«être en débat et assumer le dissensus est constitutif du protestantisme», car  Si, pour une majorité de protestants, «légaliser l’aide active à mourir est compris comme une transgression» d’un interdit fondamental, pour d’autres, «le choix du suicide assisté ou de l’euthanasie relève de la liberté et de l’autonomie de chaque personne».

 

«Il n’y a pas de front uni des religions sur la fin de vie», constate Laëtitia Atlani-Duault, vice-présidente Europe de l’université Paris Cité, qui se dit «agnostique». Pour certains, il faut «oser la loi», comme le pense le pasteur et théologien protestant François Clavairoly, qui explique dans l’ouvrage avoir cheminé sur le sujet. Théologienne et sœur dominicaine, présidente de la Conférence des religieux et religieuses de France, Véronique Margron se questionne, elle, sur des «actes de transgression» au cas par cas, au nom d’une «éthique de la détresse et de la promesse». «Légiférer, c’est aseptiser la conscience», dit-elle. Pour Laëtitia Atlani-Duault, il faut, dans tous les cas, sur ces sujets, «légiférer les mains tremblantes», comme l’avait dit le juriste Jean Carbonnier. Des mots qu’a aussi faits siens la nouvelle ministre de la Santé, du Travail et des Solidarités, Catherine Vautrin. Tout en précisant qu’elle n’avait «pas de difficultés avec ce sujet». Elle doit être épaulée sur les sujets de Santé par un ou une ministre délégué ou secrétaire d’État, prochainement nommé.

 

Ces dernières années, le chef de l’État a régulièrement interrogé les cultes sur la question de la fin de vie. Un dîner avait été organisé à l’Élysée, en 2019, réunissant plusieurs responsables religieux et partisans de l’aide active à mourir. Lors de ses vœux le 8 janvier, Emmanuel Macron a promis de revoir les responsables religieux dans le courant du mois de février pour aborder à nouveau ce dossier. Une occasion pour clarifier un imbroglio concernant la future loi sur la fin de vie ? Lors de la conférence de presse de mardi, le grand rabbin de France et le recteur de la Grande Mosquée de Paris ont en effet répété qu’Emmanuel Macron leur avait déclaré, le 8 janvier, qu’il y aurait deux lois distinctes, l’une sur les soins palliatifs et l’autre sur l’aide active à mourir, une configuration qui satisfait les responsables religieux. Mais qui a été démentie par l’Élysée dès le 10 janvier (https://www.liberation.fr/societe/religions/fin-de-vie-les-responsables-religieux-sopposent-ensemble-a-un-changement-legislatif-20240123_7PN2CRKWEZAO7GQXOZ6P3RO2DE/).

 

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Publié le 23 Janvier 2024

katholisch.de nous montre dans son article du lundi 22 janvier 2024 que Le cardinal Matteo Zuppi est l'un des ecclésiastiques les plus célèbres d'Italie, en tant que président de la Conférence épiscopale.  Maintenant, dans un discours sensationnel, il a fait de la crise de l’Église le sujet – et a clairement soutenu le pape François Au cours du débat sur la bénédiction des couples de même sexe, le cardinal italien Matteo Zuppi a vigoureusement défendu la lignée du pape François et il a déclaré lundi que les évêques italiens chargeront le document du Vatican "Fiducia supplicans" dans un esprit de miséricorde.

 

Dans le texte sur la bénédiction possible des couples de même sexe, "le regard amoureux de l'Église pour tous les enfants de Dieu" se manifeste sans abolir les enseignements contraignants de l'Église. Dieu veut que tout le monde soit sauvé. Il appartient donc à l'Église de travailler pour tous. "Nous ne pouvons pas oublier que tous les baptisés ont la pleine dignité des enfants de Dieu et en tant que tels sont nos frères et nos sœurs."

 

Dans son discours, il a discuté en détail de la crise actuelle de l'Église catholique. À l'instar d'une grande partie de la société, l'Église semble désorientée depuis la fin de la pandémie. Il y a un sentiment de déclin, qui est attaché à des indicateurs tels que le déclin des vocations sacerdotales et la marraine du culte, ainsi que la réduction du poids social de l'Église. Face à cette situation, il a appelé l'Église à prendre conscience de sa mission à nouveau : l'Église d'aujourd'hui a été appelée à être «elle-même, avec un esprit ouvert, un cœur courageux et un esprit clairvoyant». Ce n'est pas une période de déclin, mais le moment de la vocation d'être l'Église de Dieu. "Ne nous laissons pas intimider par une culture pour laquelle la foi est en déclin", a souligné Zuppi.

 

Il a rappelé que l'Église a surmonté de nombreuses crises au cours des 50 dernières années «parce que ses pasteurs n'avaient pas peur de prêcher l'Évangile et étaient conscients d'avoir une mission». A cette époque aussi, il était écrit que le christianisme était condamné. "Ne soyons pas effrayés par la fragilité et la petitesse ! Ce ne sont pas seulement des indicateurs d'un problème, mais la réalité quotidienne dans laquelle l'Église a toujours vécu", a souligné le cardinal. Zuppi a prononcé son discours devant le Conseil Permanent de la CEI.

 

Enfin, la-croix.com nous montre un remerciement et une mise en garde. En recevant, lundi 22 janvier, 150 membres de l’Association internationale des journalistes accrédités au Vatican, le pape François a salué le travail de ceux qui le suivent tout au long de l’année, en particulier en ce qui concerne les «scandales dans l’Église», et a recommandé aux représentants de la presse de se méfier du «sable des bavardages» pour privilégier «la roche de la vérité» (https://www.la-croix.com/religion/scandales-dans-l-eglise-quand-le-pape-salue-la-delicatesse-des-journalistes-20240122).

 

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Publié le 21 Janvier 2024

domradio.de nous montre ce dimanche 21 janvier 2024 que le pape François a exigé la libération de six religieuses enlevées en Haïti. Vendredi, des hommes armés dans la capitale, Port-au-Prince, ont attaqué un minibus et déporté les occupants. Après sa prière de midi sur la place Saint-Pierre, le pape a déclaré dimanche: "Je prie pour l'harmonie sociale dans le pays et appelle tout le monde à mettre fin à la violence qui apporte tant de souffrances à cette chère population." Le pape François a également demandé la paix en Ukraine et en Terre sainte. Il pense surtout aux nombreux enfants blessés et tués qui ont été privés de leurs rêves et de leur avenir.

 

Pendant ce temps en Allemagne, plus de 1,4 million de personnes ont manifesté ce week-end contre l'extrême de droite dans plusieurs dizaines de villes allemandes. Non seulement le Conseil central des Juifs se réjouit d’un «signal important», mais aussi plusieurs évêques catholiques ont également participé aux nombreuses manifestations contre l'extrémisme de droite, commentant qu’«Il est important d'être ici et de donner l'exemple de la démocratie, de la diversité et de la tolérance», comme le déclare le président de la Conférence épiscopale allemande, Mgr Georg Bätzing (https://www.domradio.de/artikel/bundespraesident-steinmeier-lobt-demos-gegen-rechts).

 

Il y a aussi quatre jours avant une décision très attendue du Conseil constitutionnel, une large coalition d’opposants à la loi sur l’immigration a manifesté partout en France, dimanche 21 janvier, contre la promulgation d’un texte assimilé à une victoire idéologique «de l’extrême droite». Quelque 150 000 manifestants se sont ralliés à l’appel lancé initialement par 201 personnalités ce dimanche 21 janvier 2024 pour faire pression contre la loi immigration proposée par le gouvernement. Le ministère de l’intérieur fait quant à lui part d’un total de 75 000 manifestants. L’exécutif pourrait promulguer rapidement le texte voté mi-décembre, notamment avec les voix du Rassemblement national, sauf censure complète et surprise par les Sages le 25 janvier (https://www.ouest-france.fr/societe/immigration/manifestations-contre-la-loi-immigration-150-000-participants-selon-la-cgt-75-000-selon-la-police-c9b1757a-b87d-11ee-879f-a9ffd2809e51).

 

Et à l’occasion du «Dimanche de la Parole de Dieu», le 21 janvier, le pape a invité les fidèles à lire régulièrement l’Évangile, dont il a conseillé d’avoir toujours un exemplaire à portée de main, face à la «violence des paroles» de la société actuelle. Durant la messe célébrée à l’occasion du «Dimanche de la Parole de Dieu», institué en 2019 par le pape François, 11 fidèles ont été appelés, dimanche 21 janvier à être «lecteurs» et «catéchistes». Une manière pour le pape d’insister sur l’importance de la «Parole de Dieu», qui constitue, a-t-il rappelé, les «sources de la foi» (https://www.la-croix.com/religion/dimanche-de-la-parole-de-dieu-le-pape-francois-denonce-la-violence-des-paroles-des-reseaux-sociaux-20240121).

 

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Publié le 20 Janvier 2024

domradio.de nous montre ce samedi 20 janvier 2024 que l'archevêque Stefan Heße soutient les manifestations contre l'extrémisme de droite. "Je participe consciemment parce qu'en tant que citoyen, je m'engage à garantir que notre ordre fondamental libre en Allemagne continue d'être le fondement stable de notre coexistence", a-t-il déclaré dans une vidéo publiée vendredi soir par l'archidiocèse de Hambourg qui a été enregistré lors de la manifestation dans la ville hanséatique. Il exprime aussi son inquiétude face au populisme et il appelle les chrétiens à défendre la dignité de tous, en particulier des migrants : «Et je pense qu'il est important que nous, en tant que chrétiens, nous positionnions clairement, défendions la dignité de chaque être humain, en particulier celle des migrants. Et respections consciemment la nôtre. Élevez la voix et participez à de tels événements. La ville en a besoin, notre pays en a besoin maintenant.»

 

katholisch.de (https://www.katholisch.de/artikel/50495-erzbischof-hesse-an-demos-gegen-rechtsextremismus-teilnehmen) nous montre que face aux manifestations, les églises du Bade-Wurtemberg ont également appelé à la résistance contre les partis d'extrême droite et populistes. "En tant que chrétiens protestants et catholiques, nous sommes unis contre la division d'extrême droite de notre société et pour une large alliance en faveur de la démocratie et des droits de l'homme", ont déclaré vendredi l'évêque protestant de Bade Heike Springhart et l'archevêque de Fribourg Stephan Burger. Il ne devrait y avoir aucune coopération avec les groupes populistes et radicaux de droite et leurs programmes antidémocratiques et inhumains, ont exigé Springhart et Burger, sans nommer directement l'AfD. Quiconque viole la dignité humaine et se laisse guider par le racisme et le mépris de l’humanité ne peut plus se baser sur la démocratie.

 

L'évêque de Münster Felix Genn a appelé à la protection des migrants. Il est important de soutenir ceux qui ont besoin d’aide ou qui sont menacés, attaqués ou victimes de discrimination. "Nous défendons la protection des faibles, la coexistence pacifique pour tous et un oui inconditionnel à la démocratie, à l'État de droit et aux droits de l'homme." Les évêques d’Allemagne de l’Est avaient déjà appelé à la résistance face à la politique d’extrême droite. L'évêque d'Essen, Franz-Josef Overbeck, avait explicitement attaqué l'AfD. L'évêque a déclaré qu'il s'était «éloigné des principes démocratiques» et a souligné : «Le parti n'est pas éligible aux élections des catholiques».

 

Des manifestations sont à nouveau prévues ce week-end dans de nombreuses villes allemandes, avec plus de 100 000 personnes attendues, notamment à Hanovre, Dortmund, Cologne, Bonn, Erfurt, Munich et Heidelberg. Vendredi, des manifestations ont eu lieu notamment devant la cathédrale de Münster et de Hambourg. Le rassemblement a même dû être interrompu pour des raisons de sécurité en raison de la surpopulation. Selon la police, 50 000 personnes y ont participé, les organisateurs parlent de 80 000. Les manifestations sont des réactions à une réunion d'extrémistes de droite révélée grâce aux recherches du réseau Correctiv, à laquelle ont également participé des membres de haut rang de l'AfD. Le slogan «remigration» concernait une stratégie visant à expulser les migrants d’Allemagne, si nécessaire sous la contrainte.

 

Enfin, plus de 100 000 personnes ont manifesté samedi à travers l'Allemagne contre le parti d'extrême droite AfD, dont des membres ont récemment discuté de l'expulsion massive d'étrangers lors d'un rassemblement d'extrémistes. Quelque 35 000 personnes se sont rassemblées à Francfort, place forte de la finance allemande, derrière une banderole «Défendre la démocratie - Francfort contre l'AfD». Un nombre similaire de manifestants ont convergé à Hanovre (nord), certains brandissant des pancartes «Les nazis dehors». Des manifestations ont été signalées à Braunschweig, Erfurt, Kassel et dans de nombreuses autres villes plus petites, à l'image des mobilisations quotidiennes cette semaine. Au total, de vendredi à dimanche soir, des appels à manifester ont été lancés dans une centaine d'endroits, dont Berlin dimanche. Des politiciens, des leaders religieux et des entraîneurs de la Bundesliga, le championnat de football allemand, ont appelé la population à se mobiliser contre l'Alternative pour l'Allemagne (AfD) (https://www.leprogres.fr/politique/2024/01/20/plus-de-100-000-personnes-manifestent-contre-l-extreme-droite).

 

Les Allemands nous montre l’exemple contre l’extrême droite, comme la Pologne où la mobilisation historique des électeurs a permis le retour de l’État de droit depuis décembre 2023 en renversant dans les urnes le gouvernement du parti d’extrême droite Droit et justice (PiS), et la nouvelle Pologne incarne en Europe la résistance à la montée des «démocraties illibérales» qui ont pris le pouvoir en Hongrie, en Italie et potentiellement aux Pays-Bas. Pour éviter la montée de l’extrême droite, les gouvernements en Europe doivent lutter contre les inégalités et la redistribution doit être prioritaire (https://www.alternatives-economiques.fr/anne-laure-delatte/lextreme-etre-battue-preuve-pologne/00109292).

 

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