Mgr Helmut Krätzl : Ratzinger était il y a 50 ans "presque euphorique sur ce que le concile avait apporté de nouveau"

Publié le 27 Octobre 2012

L'évêque émérite de Vienne, Helmut Krätzl souligna dans une interview pour le quotidien "Die Presse" (édition de samedi) : "Le Concile Vatican II "doit continuer d'être pensé", et le potentiel encore endormi de la réunion de l'Église tenue il y a 50 ans, doit être reconnu et montré". Le nouveau livre de Krätzl "Le Concile : Un bond en avant - Un témoin fait le bilan" vient d'être publié dans les éditions "Tyrol".

 

Krätzl, qui aura dans deux semaines 81 ans, était en 1958 un étudiant au  début du pontificat de Jean XXIII à Rome, puis entre 1962 et 1963, il suivit le Concile comme sténographe. Tout comme dans son livre, il rappelle dans on interview à " Die Presse" le rôle de Joseph Ratzinger, aujourd'hui devenu le pape, "Nous avons aimé le lire, parce qu'il était progressiste et intéressé par la théologie, sa théologie était lisible -par opposition à la lecture lourde de Karl Rahner. Ratzinger était une véritable autorité pour nous." Dans les commentaires de l'époque on peut lire, "que Ratzinger était presque euphorique à propos de ce que le Concile avait apporté de nouveau."


L'évêque se plaint de ce qu'il y avait eu dans l'Église depuis les différentes étapes Concile à son retour en arrière, comme "sur la question de la paternité responsable". Il rappelle le texte correspondant du Concile sur la responsabilité et la conscience des époux à l'égard du nombre d'enfants (Gaudium et spes, 50) : "À partir de ce texte perçu comme un arrangement et une libération était venu la restriction sur les méthodes du contrôle des naissances, qui pour beaucoup n'est pas viable dans ce domaine. La question de la confiance au Magistère avait beaucoup perdue. L'Église s'est maintenant attribuée en grande partie un rôle en matière de morale sans en avoir l'expertise. "


Autre critique, le Magistère a également pratiqué l'approbation de la forme extraordinaire de la messe («rite préconciliaire»). Par Benoît XVI. Cette approbation accordée aux lefebvristes était perçue comme "un retour en arrière par rapport au renouveau liturgique que le concile voulait, puisque chacune des deux liturgies au sein de l'Église s'opposent."


L'ancien vicaire général de Vienne décrit le thème de la "collégialité des évêques", comme "l'un des grands potentiels du Conseil qui n'a même pas été posé." Les évêques auraient eu la responsabilité du gouvernement de l'Église universelle, et cela "toujours avec le pape, et non sans un pape." Des efforts visant à une régulation appropriée de celle-ci n'est en rien devenu réelle.

 

Même l'état actuel du synode des évêques - qui se produit dans nouveau ensemble le dimanche pour la première fois depuis 2008 - était insatisfaisant. Le Pape Paul VI avait créé le synode, où tout participant de chaque Conférence épiscopale de l'Église universelle devrait être là. "Il avait dit en effet que les évêques avaient un rôle consultatif, mais le pape pouvait aussi leur donner la voix pour décider des questions exhaustives. Cela n'est jamais arrivé", a déploré Mgr Krätzl.

 

L'évêque auxiliaire à la retraite est fermement opposée à ce qu'un tiers du Concile Vatican II soit seulement développé. "Selon la situation météorologique générale actuelle" on devrait "corriger" le Concile Vatican II.

 

La situation du Concile, toutefois, "a complètement changé", a admis Mgr Krätzl. Il y a 50 ans une partie des solutions au manque des prêtres n'avaient toujours pas été indiqué. On est en mesure maintenant de répondre à ce manque, et l'ancien vicaire général propose l'ordination des diacres permanents qui peuvent être mariés, comme prêtres. En tout état de cause, il est essentiel "qu'on veuille aujourd'hui quelque chose de l'optimisme du concile", a déclaré Mgr Krätzl.

 

Cet optimisme a été brisé par les gardiens de la foi ne voulant pas s'ouvrir au monde et qui de ce fait ferme la porte aux autres. Il faut donc que le Concile Vatican II soit à nouveau ce ferment de renouveau et pas ce texte tronquée par une minorité. Le salut viendra des fidèles et non d'un synode incapable de prendre de réelles mesures.

 

Merci !

Rédigé par paroissiens-progressistes

Publié dans #Concile Vatican II

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N
<br /> les meilleurs exegetes sont un peu comme les aruspices qui à Rome ne pouvaient se croiser sans rire. Sauf que les exegetes c'est plus pour se dire des mechancetes sous un vernis tres<br /> ecclesiastique. Regardez le cas Carmignac qui fut interdit de parole et deprêche tout cela parce que sa thése toujours cotestable etait queles evangiles etaient au départ écrit en langue<br /> sémitique. <br /> <br /> <br /> Bref Grelot a eu sa peau !<br />
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P
<br /> <br /> C'est Jean Carmignac qui s'était fait attaqué par Pierre Grelot dans une annexe de 15 pages d'Evangiles et<br /> tradition apostolique :  réflexion sur un cetain " Christ hébreu " (1984). On ne peut guère lui tenir rigueur de lui répondre. N'est-ce pas ce que l'on appelle un débat<br /> ? Contrairement à ce que vous pensez la théorie sur un évangile hébreu primitif n'a pas été abandonné. Le père Philippe Roland en  est un grand défenseur, et lui n'a pas été<br /> condamné, me semble-t-il. Et Eric Edelmann, en servant de la Peshitta, traduction en syriaque de la Bible, tente de retrouver l'enseignement initial de Jésus dans Jésus parlait araméen (2000).<br /> C'est une hypothèse historique comme une autre pour la rédaction des textes évangéliques.<br /> <br /> <br /> Je ne soutiens pas la théorie de Carmignac pour ma part, qui soutenait que les évangiles était contemporains des apôtres, sauf peut-être pour celui de Marc, mais qui a été rédigé en grec avant la<br /> chute du Temple. La théorie la plus probable est que les évangiles ont été écrites à partir de traditions orales et de collections de logias en sémitique, qui ont circulé en grec, ce qui explique<br /> que l'on puisse écrire des évangiles en langue sémitique aujourd'hui, sans y voir un original hébreu. Ce qui a été la méthode d'André Chouraqui pour sa traduction des<br /> Quatre évangiles et qui montre que l'enseignement de Jésus avec beaucoup de vie.<br /> <br /> <br /> Vous comprendrez donc que je ne sois pas aussi sûr que vous que les thèses de Carmignac ont été enterrés par Grelot. Et que comme toute théorie historique, elle<br /> a le droit d'être défendu et débattu si elle apporte du fond à la recherche historique sur Jésus.<br /> <br /> <br /> Freyr1978<br /> <br /> <br /> <br />
N
<br /> vouloir faire de Jesus un revolutionnaire ??!!<br /> <br /> <br /> en fait de son temps il y avait de nombreux courants dans le peuple hebreu ,beacoup critiquaient le pouvoir des Saducéens, et aussi celui du tetrarque et celui des romains Pour trouver un vrai<br /> revolutionnaire lisez donc Amos ou Osee ou Jeremie ,<br /> <br /> <br /> je maintiens Jesus etait un juif radical, souvenez vous de son entretien avec la syro-phenicienne<br />
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P
<br /> <br /> Un subversif est quelqu'un qui tend soit à menacer, provoquer ou renverser l'ordre établi. Mais alors Dieu dans la Bible est lui-même un révolutionnaire et vous vous avez choisi la troisième<br /> définition du terme, renverser l'ordre établi, moi je pensais à menacer, provoquer l'ordre établi, sa mort sur la croix ne tient pas au hasard, d'après les propos de ses adversaires tout au long<br /> des évangiles. Vous avez interprété mes propos et ici c'est de la malhonnêteté intellectuelle. D'ailleurs, Amos, Osée, Jérémie qui inspirent Jésus, critiquent la société de leur temps qui ne<br /> respecte plus la parole de Dieu, ce qui a pu faire d'eux des subversifs et non des révolutionnaires. Isaïe fait les mêmes critiques et vous ne l'avez pas cité. L'exemple de la syro-phénicienne ne<br /> montre en rien que Jésus était un juif radical, terme anacronique pour son époque, car tout juif du 1er siècle se méfie des païens qui ne connaissent pas les préceptes juifs. Jésus parle dans<br /> l'évangile de Matthieu (8, 5-13) directement au centurion romain, ce qui montre que c'est un craignant Dieu, un païen qui pratique les rites juifs sans être circoncis. Jésus n'est guère différent<br /> des pharisiens, qui eux contrairement à lui cherchait à convertir les païens. Jésus pensait d'abord à convertir Israël qui devait servir de guide aux païen qui serait convertis par la suite.<br /> <br /> <br /> Merci !<br /> <br /> <br /> <br />
N
<br /> pour me donner des cours d'exegese ,encore faudrait-il qu'il soit qualifie <br /> <br /> <br /> helas pour lui j'en ai suivi avec succes et en connais les differentes formes. j'envisage egalement de me lancer dans l'exegese rabbinique car la lecture et la relecture des textes montre que<br /> Jesus etait un juif integral ,plus integriste qur hocm'a Hillel mais plus souple que Shammai (excusez ma translitteration deficiente)<br />
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P
<br /> <br /> Il est qualifié, car il a étudé les textes bibliques et il a lu les commentaires des meilleurs exégètes et historiens sur le sujet, et nous avons eu une maîtrise recherche en histoire dans le<br /> domaine politique et religieux, notre travail parle pour nous. C'est votre lecture, mais quand on voit l'enseignement de Jésus, il était subversif pour son époque, du fait qu'il côtoie les<br /> pêcheurs, qu'il critique les élites de son temps. De plus il protège les femmes, et demande à ses disciples d'être des serviteurs, des esclaves et des enfants, des catégories inférieures et peu<br /> estimées durant cette époque. Je ne vois pas un juif intégral ici. Nous avons une lecture historique et pas dogmatique, si cela vous dérange nous n'y pouvons rien.<br /> <br /> <br /> Merci !<br /> <br /> <br /> <br />
N
<br /> Je pense que vons ne connaiissez pas grand chose aux écrits du Cl Ratzinger! Il distingue trés nettement la Tradition qui est la transmission d'un enseignement oral (cf le talmud) des traditions<br /> surajoutées , contingentes, et qui pour lui sont les ennemis de la Tradition.<br /> <br /> <br /> Mais comme votre partenaire qui  met des rabbins avant jésus Christ , vous déformez ou ne connaissez pas les textes , cela dit ses illustrations sont trrés bien , mais à condition de ne pas<br /> les gâcher avec du texte<br />
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P
<br /> <br /> Si j'ai lu ses livres, ses interviews, même son tome 1 sur Jésus, et il ne m'a jamais convaincu, car sa vision est trop fermée aux catholiques voulant un vrai appel d'air, et pas un combat<br /> d'arrière garde.<br /> <br /> <br /> Le danger demeure toujours de ravaler la Tradition à un ensemble de «vieilles coutumes» ou de l'ériger en critère d'autorité, bref : d'en faire une réalité<br /> autonome extérieure à la vie croyante. On privilégie alors l'aspect «sauvegarde» et «témoignage», oubliant que la Tradition est proprement interprétation créatrice et productrice d'inédit, dans<br /> laquelle l'agir croyant lui-même joue un rôle déterminant.<br /> <br /> <br /> Nous ne déformons pas les textes, nous ne faisons que les voir dans un sens historique, à ce que je vois vous avez une lecture littérale des textes qui vous<br /> empêche de comprendre le sens de cette initiative. Je laisserai à l'autre paroissien, la possibilité de vous expliquer ce qu'est l'exégèse, que vous ne semblez pas comprendre.<br /> <br /> <br /> Merci !<br /> <br /> <br /> <br />
F
<br /> Je ne vous impose absolument rien je vous ai juste demander une question.Si ce n'est pas de l'idéologie que vous imposez à vos lecteurs c'est qui la majorité et c'est qui la minorités ?  <br />
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P
<br /> <br /> Vous le savez déjà, mais vous posez la question, la minorité est celle qui est autour du pape et qui dit que l'Eglise a toujours suivie une ligne continue ce qui est faux puisque l'histoire le<br /> montre, et la majorité celle que l'on n'écoute pas, qui dit qu'à chaque fois que l'Eglise devait franchir un obstacle, elle se réformait, ce que montre l'histoire.<br /> <br /> <br /> Merci !<br /> <br /> <br /> <br />
N
<br /> Ja vais vous citer un excellent texte qui me parait bien définir votre courant. Comme il a été écrit en 1983 au plus tard , vous étiez encore en couches-culottes à cette période, mais "l'esprit<br /> de vatican II" avait en France déja laissé sa diabolique empreinte..<br /> <br /> <br /> "la plupart des progressismes vivent d'un archaïsme caché en n'accordant de crédit qu'à la primitive Eglise, au Nouveau Testament ou m^me au seul chapitre douxième de la première lettre aux<br /> Corinthiens"<br /> <br /> <br /> Les principes de la Théologie catholique page 109 Tequi éditeur<br /> <br /> <br /> et c'est signe du cardinal Joseph Ratzinger<br />
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P
<br /> <br /> Je vois que le cardinal Ratzinger ne sait pas grand chose des progressistes, comme c'est le cas aujourd'hui. C'est le cas pour vous aussi. Pourtant il y a longtemps, il avait l'esprit ouvert tout<br /> comme vous. L'esprit dui concile existe dès 1963. Ici c'est un fait historique que donne Yves Chiron. Il existent depuis longtemps ceux qui veulent des réformes dans l'Eglise, et il finissent<br /> toujours pour avoir gain de cause. J'attendrais, je suis patient.<br /> <br /> <br /> Merci !<br /> <br /> <br /> <br />
F
<br /> Si ce n’est pas de l’idéologie je suis curieux de savoir qui selon vous est la minorité et qui est la majorité<br /> ? Quant aux pays sud rien que vos articles concernant le mariage homosexuel suffiraient pour vous rendre infréquentable même au près du plus croyant des croyants.<br />
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P
<br /> <br /> Fred,<br /> <br /> <br /> Ici l'idéologue n'est pas moi, vous voulez m'imposer votre point de vu et que je fasse de la propagande. Si vous ne savez pas ce qu'est la minorité et la majorité, c'est que vous n'avez jamais lu<br /> mes articles et je trouve cela dommage, donc je vous invite à les relire. Pour les pays du Sud, en Amérique latine, le mariage homosexuel a été adopté dans quelques états d'Amérique du Sud, et<br /> l'Afrique du Sud l'a adopté. Donc, pour l'infréquentabilité, attendons encore avant d'avancer un tel avis. Je ne vais pas refaire mon blog pour faire plaisir à quelques personnes, car elles ne<br /> supportent pas un autre avis et je veux que mes lecteurs puisse avoir une autre vison de l'Eglise.<br /> <br /> <br /> Merci !<br /> <br /> <br /> <br />
F
<br /> Cher progressiste<br /> <br /> <br /> Je suis désolé de vous le dire mais vous êtes absolument malhonnête et votre but n’est pas de reformer<br /> l’Eglise comme vous essayez de nous le faire croire mais de faire triompher votre idéologie .Car vos idées n’ont rien d’évangélique mais c’est une idéologie et vous êtes prêt à tous et même à<br /> mentir pour la faire passer. « Lorsque vous dites Il faut donc que le Concile Vatican II soit à nouveau ce ferment de renouveau et pas ce texte tronquée par une minorité »<br />  vous cherchez  à faire croire vos lecteurs qu’il y aurait une minorité et une majorité dans l’Eglise .Une minorité qui se serait accaparée le pouvoir pour imposer à la majorités des<br /> orientations qu’elle ne veut pas .Ce qui évidemment est faux et surtout malhonnête. Depuis que l’Eglise existe c’est le Pape et ses collaborateurs qui sont chargé d’appliquer les directives du<br /> concile et vous le savez bien puisque le Concile le rappelle. C’est  exactement ce qu’ont fait Paul VI, JPII, et BXVI. Vous êtes libre de penser ce que vous voulez mais n’essaie pas de<br /> mentir qu’il y aurait une majorité qui subit les caprices d’une minorité.<br /> <br /> <br /> Vous vous dites progressistes mais qu’est-ce que cela veut dire ? Croyez vous que vous avez le monopole<br /> du progressisme ?  A votre avis sur quel bord penchent des centaines de millions de catholique d’Amérique du sud, d’Afrique ou d’Asie ? Connaissez-vous l’avis de tous les évêques<br /> du monde ?   <br /> <br /> <br /> Grâce au concile VII , les Eglises du Sud ont trouvé leur place dans l’Eglise universel  ,leurs taux de<br /> baptisé et de vocation ne cesse d’augmente et malgré tout  vous osez dire que le Concile n’est plus un « ferment de renouveau ».Oui dans notre occident le concile n’a pas su arrêter<br /> l’hémorragie qui avait débuté bien avant mais il ne faut pas oublier que le concile a permit et permet toujours un renouveau aussi chez nous certes pas quantitatif mais qualitatif il suffit de<br /> voir tous ces jeunes communautés qui sont nées (souvent en réaction à l’esprit déformé du concile des années 70) au le lendemain du concile  et tous ces laïques qui s’engagent dans l’Eglise<br /> .<br /> <br /> <br /> Je ne suis pas comme vous je ne rêve plus d’une chrétienté où toutes les Eglises seraient remplis tous les<br /> dimanches, je vous prédis une petite Eglise dynamique et fervente qui écoute et lit la parole de Dieu essaie de la mettre en pratique, ainsi que le magistère. <br />
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P
<br /> <br /> Menteur, vos mots sont les votres, je suis en droit de dire, ce que l'histoire montre, une minorité donne sa vue à la majorité. Vous me parlez des églises du sud, mais là aussi il y a de la<br /> contestation, on le voit en Asie, en Amérique latine, du Nord, même en Afrique. Moi, il y a longtemps que je ne suis plus aveugle, et je préfère dire tout haut ce que tout le monde pense tout<br /> bas. Ce n'est pas votre cas d'accord, mais ne prenez pas mes lecteurs pour des enfants, ils savent lire tout aussi bien que vous et ils ne partagent pas forcément votre avis. Et si mes propos<br /> vous dérange, vous n'êtes pas obligé de venir sur mon blog.<br /> <br /> <br /> Merci !<br /> <br /> <br /> <br />
N
<br /> pourquoi ultra ?<br />
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P
<br /> <br /> Ultra veut dire "plus", et les progressistes comme moi veulent juste des réformes dans l'Eglise pas aller plus loin, il y aussi des ultras chez vous.<br /> <br /> <br /> Merci !<br /> <br /> <br /> <br />
N
<br /> Si vous lisiez Ratzinger le théologue , vous verriez qu'il n'est pas contre le Concile , mais bien contre " l'esprit" du Concile , que denoncait déja Paul VI le 29/06/1973 en parlant des fumées<br /> de l'enfer qui avaient envahi l'Eglise.<br /> <br /> <br /> Cet "esprit" du Concile m'a fait quitter l'Eglise pendant 40 ans ne tolerant pas les petits marquis qui se prennent tous pour des papes<br />
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P
<br /> <br /> S'il n'y a pas d'esprit, il n'y a pas de concile, vous qui aimez le concile de Trente, on aussi parler d'un esprit du concile de Trente. Tout ce que j'ai lu avec Ratzinger c'est sa déception à<br /> propos de la réception du concile, car il pensait que ce serait calme et sans danger, mais dès 1963, on commença à interpréter les premières mesures et l'esprit du concile commença. Pour les<br /> fumées de Satan, Paul VI visait les intégristes et les ultra progressistes, il voulait une ligne mixte, un entre 2. Pas la ligne traditionnaliste. Un post modernisme avant l'heure.<br /> <br /> <br /> Enfin, si vous n'aimez pas l'esprit du concile, il faut vous y faire, il existe.<br /> <br /> <br /> Merci !<br /> <br /> <br /> <br />