Le pape François demande un «plan Marshall» pour les pays les plus pauvres

"Que les gouvernements accueillent, avec prudence, les migrants qu'ils peuvent intégrer". Le pape François était préoccupé par le sort des personnes fuyant la guerre et la faim et cherchent à ouvrir des portes en Europe pendant le vol de retour de son voyage à Genève comme nous le montre Jesús Bastante dans son article du 22 juin 2018 sur periodistadigital.com.

Ainsi, le pape François a réclamé une sorte de «Plan Marshall» pour les pays pauvres, et était optimiste, mais a reconnu que «le problème des guerres sont difficiles à résoudre, le problème de la persécution au Moyen-Orient et aussi au Nigeria, le problème de la faim peuvent se résoudre.»

"Cela doit changer avec ce plan d'investissement, l'éducation, pour grandir, car le peuple africain a beaucoup de richesses culturelles, une grande intelligence, des enfants intelligents ... Ce sera le chemin à moyen terme", a-t-il dit.

Un voyage qui était clair, comme il l’a dit aux journalistes que «dans le mouvement œcuménique doit supprimer un mot du dictionnaire ? Prosélytisme. C’est clair, on ne peut pas avoir de l'œcuménisme avec le prosélytisme».

Tout au long de la conversation - Plus courte, parce que le voyage ne durait une heure -, le pape François clarifiait aussi la controverse sur l'intercommunion à propos des évêques allemands, «ce n'était pas un obstacle», mais un demande une étude plus approfondie, de passer des décisions dans chaque diocèse, qui est une option que le code de droit canonique peut accepter pour toute l'Église.

Un Plan Marshall pour les pays pauvres, un œcuménisme opposé au prosélytisme et une étude approfondie sur l’intercommunion en Allemagne sont les solutions que désire le pape pour les problèmes récents que touchent le monde et l’Église. L’intérêt est de voir comment le pape arrivera à faire passer ses idées qui rencontreront forcément des oppositions.

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