Publié le 29 Mai 2025

Sabine Kleyboldt pour KNA nous montre que des milliers de personnes ont été attirées dans la campagne ce jeudi – y compris le pape. Le jour de l'Ascension est une fête importante à laquelle ses prédécesseurs célébraient la messe au Vatican, et contrairement à son prédécesseur le pape François, aucune messe papale n'a été annoncée dans la basilique Saint-Pierre. Bien sûr, l'Ascension n'est pas un jour férié en Italie - contrairement à l'Allemagne et à l'Autriche, par exemple - donc de telles messes n'ont généralement lieu que le soir. Que le pape Léon XIV ait certainement pensé à la fête de l'Ascension était déjà évident dans son salut aux pèlerins germanophones lors de l'audience générale : «Chers frères et sœurs germanophones, la solennité de l'Ascension qui approche oriente notre regard vers le ciel. Elle nous rappelle en même temps la mission que Jésus-Christ nous a confiée ici-bas», a déclaré le pape Léon XIV mercredi.

 

Mais le pape Léon XIV était en déplacement professionnel dans un vignoble biologique au lieu de la basilique Saint-Pierre. Le pape Léon XIV a visité l'éco-projet «Laudato si» à Castel Gandolfo près de Rome le jour de l'Ascension. Ce projet a fait convertir une partie des jardins en agriculture biologique et en vignoble biologique. Le projet offre aux migrants, aux réfugiés, aux personnes socialement défavorisées et aux personnes handicapées la possibilité de travailler et de recevoir une formation. Le pape a déjà exprimé dans des déclarations au cours des trois dernières semaines que l’environnement et la durabilité sont importants pour lui. À cette occasion, le pape, élu il y a trois semaines, était également présent au Palais pontifical, comme l'a annoncé jeudi la Salle de presse du Vatican. Le pape Léon XIV était attendu de retour au Vatican en début d'après-midi.

 

Enfin, Jésus Bastante nous montre sur religiondigital.org (https://www.religiondigital.org/vaticano/Papa-anabaptistas-unidos-cristianos-testimonio_0_2783721630.html) que pour  les 500 ans du mouvement anabaptiste, le pape Léon XIV a envoyé un message aux participants aux événements commémoratifs qui se déroulent à Zurich, appelant à l'unité au milieu de «notre monde déchiré par la guerre» soulignant le «grand don de la paix», et il a insisté sur la nécessité pour «les catholiques et les mennonites de faire tout leur possible pour vivre le commandement de l'amour, l'appel à l'unité chrétienne et le mandat de servir son prochain», ainsi que d'avoir «honnêteté et bienveillance dans la réflexion sur notre histoire commune, qui comprend des blessures douloureuses et des récits qui influencent les relations et les perceptions catholiques-mennonites à ce jour».

 

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Publié le 28 Mai 2025

vaticannews.va nous montre qu’à l’issue de l’audience générale de ce mercredi 28 mai place Saint-Pierre, le Souverain pontife a «renouvelé avec force» son appel à «arrêter les conflits» en particulier en Ukraine en tournant ses pensées «vers le peuple ukrainien touché par de nouvelles attaques graves contre les civils et les infrastructures», à Gaza où «s’élèvent des cris de mères, de pères qui serrent les corps sans vie de leurs enfants», et «qui sont continuellement obligés de se déplacer à la recherche d'un peu de nourriture et d'un abri plus sûr, contre les bombardements» et dans d’autres parties du monde «où les gens souffrent de la guerre». Le Saint-Père a «assuré de sa proximité et de ses prières envers toutes les victimes, en particulier les enfants et les familles»,  tout en invitant chacun des fidèles de prier pour la paix en Ukraine, à Gaza et dans d’autres pays du monde où les populations souffrent de la guerre. Le Souverain pontife a ainsi demandé l’intercession de «Marie Reine de la Paix» pour que cessent ces conflits.

 

José Manuel Vidal nous montre ensuite dans religiondigital.org (https://www.religiondigital.org/vaticano/Audiencia-Papa-Leon-XIV-Prevost-roma-Iglesia-miercoles_0_2783421635.html) que dans sa deuxième catéchèse du mercredi, le pape Léon XIV explique, devant 40 000 fidèles réunis place Saint-Pierre, la célèbre parabole du «bon Samaritain», pour inviter les fidèles et l'Église à exercer la compassion concrètement, par des actes, par des faits, comme le faisait le Samaritain, mais comme ne le faisaient ni le prêtre ni le lévite, qui, en passant, démontrent que «la pratique du culte ne conduit pas automatiquement à la compassion». Car, selon le pape François, «la compassion est une question d'humanité et non de religion ! Avant d'être croyants, nous sommes appelés à être humains.»

 

Enfin, après deux mois, le Vatican a rejeté les accusations selon lesquelles le cardinal Robert Francis Prevost (aujourd'hui le pape Léon XIV) et d'autres cardinaux auraient retardé ou dissimulé des cas d'abus au cours des années précédentes.  Le cardinal secrétaire d'État Pietro Parolin a déclaré mardi au portail Vatican News à propos des allégations : «À cet égard, les enquêtes menées par les autorités compétentes, à travers un examen de données objectives et documentaires, ont montré que les cas (...) ont été traités conformément aux normes en vigueur.» À l'époque, les cas avaient été «transmis par les évêques diocésains de l'époque au dicastère compétent pour examen et évaluation des allégations», a poursuivi Parolin : «Les contrôles effectués par les autorités compétentes n'ont révélé aucune irrégularité dans les actions des évêques diocésains.» Il n'a pas précisé quand les tests ont eu lieu ni qui les a effectués (https://www.domradio.de/artikel/kardinal-weist-vorwuerfe-zu-papst-leos-umgang-mit-missbrauch-zurueck).

 

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Publié le 27 Mai 2025

Yann Thompson, Valentine Pasquesoone, et Laure Cometti nous montrent dans le Direct de francetvinfo.fr qu’après deux semaines de débats en première lecture, les députés ont adopté largement avec 305 voix pour et 199 à l'issue d'un scrutin solennel la proposition de loi sur l'aide à mourir, mardi après-midi, permettant à cette réforme sociétale majeure, en gestation depuis plusieurs années, de franchir une étape décisive pour cette réforme mise en chantier en 2022. Ils ont aussi approuvé à l'unanimité un texte plus consensuel sur les soins palliatifs, avec 560 voix pour. "Cette loi, c'est tout sauf la fin des soins palliatifs", a déclaré ministre de la santé Catherine Vautrin à l'Assemblée, face aux craintes d'un investissement insuffisant en faveur des soins palliatifs. Vivement contesté par la majorité des élus de droite et d'extrême droite, mais aussi par une partie du centre et de la gauche, le texte sur l'aide à mourir a finalement recueilli un large soutien. C'est un fait rare à l'Assemblée : les députés n'avaient pas reçu de consigne de vote officielle issue de leur groupe. Même si les grands clivages partisans étaient connus, chaque élu bénéficiait donc d'une liberté de vote ou d'abstention, sans qu'il puisse lui être reproché de trahir son camp. Le Premier ministre a exprimé ses doutes, sur BFMTV, affirmant qu'à ce stade, s'il était député, il "s'abstiendrait" de voter le texte sur l'aide à mourir, sur lequel il a toujours des "interrogations".  

 

«Merci mes chers collègues d’avoir fait de ce débat parlementaire un beau débat parlementaire et d’avoir voté une belle loi républicaine qui porte en son cœur les valeurs de liberté, égalité, fraternité», a déclaré juste après le rapporteur général du texte, le député (Charente-Maritime, divers gauche) Olivier Falorni, qui est engagé depuis de nombreuses années pour qu’un tel droit soit créé. «Je pense à tous les malades et tous leurs proches. Il y a des jours dont on sait qu’on ne les oubliera jamais. Je n’oublierai jamais cette journée», a-t-il poursuivi ému, et étant applaudi par les députés de gauche et du bloc central (https://www.lemonde.fr/societe/live/2025/05/27/en-direct-fin-de-vie-le-vote-de-l-assemblee-nationale-sur-la-proposition-de-loi-relative-aux-soins-palliatifs-a-debute_6608812_3224.html). Il appartient désormais aux sénateurs de se pencher sur ces deux textes, sans doute cet automne. La ministre de la santé Catherine Vautrin espère qu’elle puisse être entérinée avant la présidentielle de 2027. Et Emmanuel Macron salue «une étape importante» après le vote des deux textes par l’Assemblée nationale «dans le respect des sensibilités» (https://www.lemonde.fr/societe/live/2025/05/27/en-direct-fin-de-vie-le-vote-de-l-assemblee-nationale-sur-la-proposition-de-loi-relative-aux-soins-palliatifs-a-debute_6608812_3224.html).

 

Les partisans de l’aide à mourir saluent un «vote historique». «L’heure est à la joie pour celles et ceux d’entre nous qui perçoivent l’espoir d’une fin de vie maîtrisée, épargnée des souffrances inapaisables et des agonies inutiles», a salué Jonathan Denis, président de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD). «Mais l’heure n’est pas au triomphalisme, tant le temps qui s’ouvre aujourd’hui, avant la promulgation de la loi, sera encore trop long pour celles et ceux qui souffrent», a-t-il ajouté. Claire Thoury, membre du Conseil économique, social et environnemental (CESE) et présidente du Comité de Gouvernance de la Convention citoyenne qui a planché en amont sur la fin de vie, a salué «un moment historique sur le plan démocratique» (https://www.lemonde.fr/societe/live/2025/05/27/en-direct-fin-de-vie-le-vote-de-l-assemblee-nationale-sur-la-proposition-de-loi-relative-aux-soins-palliatifs-a-debute_6608812_3224.html).

 

Tandis que les opposants y voient une «transgression majeure» comme les soignants de la société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) ont déploré un «changement fondamental de la mission des soignants». «Ce texte sur l’aide à mourir ne répond pas à des situations d’exception, mais instaure une nouvelle norme du mourir», a déclaré sa présidente, Claire Fourcade. La SFAP a néanmoins salué l’adoption de la proposition de loi sur les soins palliatifs en jugeant qu’elle comporte des «innovations utiles».  La conférence des évêques de France (CEF) qui a l’instar des représentants des autres confessions, est opposée au texte sur le droit à mourir, a redit « sa vive inquiétude ». Les évêques français jugent que l’adoption définitive de ce texte législatif «mettrait profondément à mal le pacte social et le modèle de soins français». Et les ex-militants de La Manif pour tous devenus Le Syndicat de la famille ont dénoncé «la suppression de l’interdit de tuer» perçue comme «une transgression majeure» (https://www.lemonde.fr/societe/live/2025/05/27/en-direct-fin-de-vie-le-vote-de-l-assemblee-nationale-sur-la-proposition-de-loi-relative-aux-soins-palliatifs-a-debute_6608812_3224.html).

 

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Publié le 26 Mai 2025

La rédaction de ledauphine.com avec l’AFP nous montrent que les évêques d'Île-de-France, dont l'archevêque de Paris Laurent Ulrich, ont écrit ce lundi aux parlementaires de leur région pour dénoncer la «pente infiniment dangereuse et mortifère» qu'ouvre selon eux le texte de loi sur l'aide à mourir qui doit être voté en première lecture mardi à l'Assemblée nationale, car «La mort donnée ne peut pas être un soin», affirment les 11 prélats, dont l'archevêque de Paris Laurent Ulrich, dans cette lettre envoyée aux députés et sénateurs d'Île-de-France. Ils soulignent leur «opposition la plus vive et la plus fondamentale à l'euthanasie et au suicide assisté».

 

Les évêques s'inquiètent pour les plus fragiles ou les plus pauvres qui pourraient être «les premiers à se laisser persuader qu'ils sont de trop dès qu'ils seront âgés, malades». Redoutant un texte finalement «peu encadré», ils dénoncent la «stratégie revendiquée de ceux qui comptent, chaque année, demander à étendre progressivement le champ d'application» de la loi pour permettre «l'euthanasie ou le suicide assisté des mineurs, des personnes malades d'Alzheimer, etc.». Ils rappellent que l'actuelle loi Claeys-Leonetti «propose des solutions concrètes, équilibrées, exigeantes et humaines», mais qu'«elle reste insuffisamment connue et appliquée». «S'il s'agit de protéger les plus faibles d'entre nous de souffrances terribles, pourquoi ne pas se tourner résolument, d'abord, vers [les] soins palliatifs ?», demandent-ils.

 

Le 19 mai déjà, la Conférence des évêques de France (CEF) avait incité les fidèles à agir, notamment en interpellant les parlementaires. Les responsables français des principaux cultes avaient eux alerté le 15 mai sur de «graves dérives» et le «basculement radical» découlant selon eux de cette proposition de loi.

 

Cependant, les députés, qui se prononceront définitivement sur les deux propositions de loi (l'aide à mourir, mais aussi les soins palliatifs) le 27 mai, ont ainsi approuvé samedi 24 mai, au cours de débats globalement sereins, la création d'un "droit à l'aide à mourir", dans le cadre des débats sur la proposition de loi sur les soins palliatifs, ils ont approuvé la création d'un "droit opposable" à ces soins, et ont aussi approuvé la création d'un délit d'entrave à l'accès à l'aide à mourir, tout en renforçant la peine encourue (https://www.franceinfo.fr/societe/euthanasie/fin-de-vie-les-deputes-voteront-mardi-27-mai-sur-la-creation-d-un-droit-a-l-aide-a-mourir_7270044.html).

 

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Publié le 25 Mai 2025

José Lorenzo nous montre que l’héritage du pape François continue dans religiondigital.org (https://www.religiondigital.org/vaticano/Leon-XIV-Regina-Coeli-cristianos-laudato_0_2782521725.html) à travers le pape Léon XIV, qui nous a invités, dans les paroles précédant la prière du Regina Caeli, à ne pas nous concentrer sur nos forces individuelles, mais plutôt «sur la miséricorde du Seigneur qui nous a choisis, certains que l'Esprit Saint nous guide et nous enseigne tout». Léon XIV a exhorté les fidèles à s'engager à «porter leur amour partout, en se rappelant que chaque sœur et chaque frère est une demeure de Dieu, et que sa présence se révèle surtout chez les petits, les pauvres et ceux qui souffrent, nous demandant d'être des chrétiens attentifs et compatissants». Le pape a rappelé qu'hier marquait le dixième anniversaire de la signature par le pape François de l'encyclique Laudato si', consacrée à la sauvegarde de notre maison commune et qui a connu une diffusion extraordinaire. Il a également rappelé la célébration, la veille, d'une journée de prière pour l'Eglise en Chine. Enfin, il a conclu en demandant des prières pour «tous les peuples souffrant de la guerre», ainsi que «du courage et de la persévérance pour tous ceux qui s'engagent dans la recherche de la paix».

 

Hier, comme nous le montre religiondigital.org (https://www.religiondigital.org/vaticano/Leon-XIV-renovar-dialogo-construyendo-planeta-cuidado-ladato_0_2782221754.html) le pape Léon XIV a exhorté à «renouveler le dialogue sur la manière dont nous construisons l'avenir de la planète», dans un message sur le réseau social X à l'occasion du dixième anniversaire de la publication de l'encyclique «Laudato Si». "Cette encyclique du pape François nous appelle à renouveler le dialogue sur la manière dont nous construisons l'avenir de la planète, à nous unir dans la poursuite d'un développement durable et intégral et à protéger la maison commune que Dieu nous a confiée", a écrit le pape américain sur le réseau social. Le pape a fait écho à la préoccupation de son prédécesseur pour l'environnement, exprimée dans le message vidéo qu'il a envoyé à une réunion de recteurs d'universités des Amériques et de la péninsule ibérique à Rio de Janeiro, dans lequel il les a exhortés à «œuvrer pour la justice écologique, sociale et environnementale». Cette réunion avait également pour objectif de préparer le sommet sur le climat COP30, qui se tiendra dans la ville amazonienne de Belém, et auquel le nouveau pape a été invité par le gouvernement brésilien de Luiz Inácio Lula Da Silva.

 

Enfin, domradio.de (https://www.domradio.de/artikel/vatikan-mitarbeiter-feiern-papst-leo-xiv) nous montre que le pape Léon XIV a reçu en audience samedi les employés du Vatican et leurs familles. Les quelque 5000 personnes ont célébré le pape par des applaudissements et des cris de «Viva il Papa» pendant la réunion qui a duré près d'une heure dans la salle d'audience du Vatican. L'homme de 69 ans a mis environ une demi-heure pour saluer et bénir personnellement des centaines d'employés avec de jeunes enfants. Il avait auparavant remercié le personnel du Vatican pour son travail dans un bref discours. Ils ont accueilli sa remarque à moitié plaisante : «Les papes vont et viennent, mais la Curie reste», par des rires et des applaudissements. À plusieurs reprises, Léon XIV rappelle son prédécesseur le pape François et sa réforme de la Curie lançant un appel très clair : «Servez la communion, l'unité, dans la charité et la vérité.», et il a tenu à rappeler «la dimension missionnaire de la Curie et de toute institution liée au ministère pétrinien» (https://www.religiondigital.org/vaticano/Primera-XIV-Vaticano-Papas-Curia_0_2782221753.html).

 

Par leur intermédiaire, l’appareil dirigeant de l’Église catholique mondiale a été mis au service de la proclamation. Le pape n’a pas prononcé de discours programmatique sur lequel certains avaient déjà spéculé; et il même déclaré que "Ce n'est certainement pas le moment de faire des discours programmatiques" (https://www.religiondigital.org/vaticano/Primera-XIV-Vaticano-Papas-Curia_0_2782221753.html). Son discours n’a duré que quelques minutes. Quelques phrases seulement ont fait réagir les gens. Il a souligné le rôle du Vatican comme lieu de transmission de la tradition. Il a dit littéralement : «la Curie est l'institution qui préserve et transmet la mémoire historique de l'Église. (...) La mémoire est essentielle à un organisme vivant : elle ne se tourne pas seulement vers le passé, elle nourrit le présent et indique la voie à suivre pour l'avenir. Sans mémoire, on se perd.»

 

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Publié le 24 Mai 2025

Ouest-France.fr nous montre que le Premier ministre a mis en ligne ce samedi 24 mai 2025, sur un site internet dédié, une série de documents destinés à se défendre contre les accusations qui le visent dans l’affaire Bétharram. Il s’agit des pièces qu’il avait produites lors de son audition à l’Assemblée nationale, affirmant qu’elles prouvent «l’inanité» des accusations qui le visent. Sur le site Bayrou.fr, on peut retrouver le texte de son intervention liminaire devant la commission d’enquête, une chronologie de l’affaire, et une série de documents qui, selon lui, permettent de réfuter six accusations portées contre lui. Parmi elles : «François Bayrou a menti à l’Assemblée nationale» ou «François Bayrou est intervenu auprès de la Justice» ou encore «François Bayrou a bénéficié d’informations privilégiées».

 

Ces affirmations sont ensuite démenties une par une. Il est donc possible de consulter le rapport d'inspection réalisé en 1996 et n'ayant conclu à aucun dysfonctionnement dans l'établissement, comme les différents courriers échangés entre le directeur de Bétharram et l'inspecteur d'académie. Le maire de Pau revient également sur ses relations avec le père Silviet-Carricart, mis en examen pour viol avant son suicide en 2000, et avec le juge Christian Mirande, chargé de l'enquête dès 1998. "Si ma présence comme cible politique a permis que ces faits apparaissent, ce MeToo de l’enfance, alors cela aura été utile !" écrit François Bayrou, avant de s'interroger : "Pourtant pour moi, plus important encore est le devoir qui s’impose à nous : comment faire pour que de tels comportements puissent à l’avenir être efficacement repérés, efficacement combattus, efficacement bannis, efficacement réparés ?" (https://www.tf1info.fr/politique/affaire-college-lycee-catholique-betharram-premier-ministre-francois-bayrou-publie-les-preuves-destinees-a-prouver-son-innocence-2372793.html).

 

François Bayrou avait été entendu pendant plus de cinq heures le 14 mai par les députés de la commission d’enquête sur les violences en milieu scolaire à propos de l’établissement Notre-Dame-de-Bétharram. Le chef du gouvernement avait alors rejeté avec virulence les accusations de mensonge ou d’intervention dans les années 1990 auprès de la justice dans l’affaire des violences physiques et sexuelles dans ce collège-lycée, situé près de sa ville de Pau, où une partie de ses enfants avaient été scolarisés et où son épouse enseignait le catéchisme.

 

François Bayrou était déjà dans les années 1990 un homme politique influent dans sa région du Béarn. Et il a occupé les fonctions de ministre de l’Éducation nationale de 1993 à 1997. Le leader centriste estime faire l’objet d’attaques politiques de la part notamment de députés de la France insoumise (LFI). À l’issue de son audition très tendue devant la commission, le parlementaire insoumis Paul Vannier avait affirmé que les débats avaient permis de montrer que François Bayrou avait «menti» lorsqu’il avait été interrogé pour la première fois en février à l’Assemblée sur sa connaissance des faits commis à Bétharram. L’établissement catholique, sous contrat avec l’État, est aujourd’hui visé par plus de 200 plaintes d’anciens élèves pour des violences physiques et sexuelles.

 

Début mai, le parquet de Pau avait demandé à être dessaisi des plaintes visant François Bayrou dans le dossier de l'affaire Bétharram, le procureur évoquant ses relations institutionnelles avec le maire de Pau. Le parquet de Tarbes s'en chargera, a-t-on appris ce vendredi. Deux plaintes ont été déposées contre François Bayrou. Un ancien élève de l'établissement a porté plainte pour "non dénonciation de crime ou délit". L'autre plainte a été déposée par l'avocat Me Jean-François Blanco, également élu d'opposition à la mairie de Pau. Il s'agit d'une plainte pour "entrave à la justice", concernant une supposée intervention de Bayrou dans l'affaire Carricart (https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/affaire-betharram-les-plaintes-visant-francois-bayrou-finalement-traitees-par-le-parquet-de-tarbes-5311774).

 

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Publié le 23 Mai 2025

religiondigital.org nous montre que le pape Léon XIV a rencontré ce vendredi des représentants de la Commission des conférences épiscopales européennes (Comece) et a souligné l'importance de travailler pour une paix juste en Ukraine, sans toutefois donner de détails sur le Vatican comme lieu des négociations. En réponse à l'offre du pape d'accueillir le Vatican pour d'éventuelles négociations entre la Russie et l'Ukraine, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a qualifié lundi cette possibilité d'"irréaliste". «Toute initiative, alors que des soldats et des civils meurent chaque jour, et je parle des soldats des deux côtés, et chaque effort et chaque aide pour le dialogue sont important», a déclaré l'évêque du diocèse lituanien de Vilkaviškis, Rimantas Norvila, qui faisait partie de la délégation de la Comece qui a rencontré le pape Léon XIV.

 

Au cours de l'entretien avec le pape, la «faiblesse de l'Union européenne» sur plusieurs questions a également été évoquée, ont expliqué les évêques européens. Le pontife américain a également exprimé son inquiétude quant au réarmement. "Cette question a été soulevée directement par le pape, en réaction à des choses qui étaient dites, et il a réitéré sa préoccupation que les secteurs les plus faibles, les plus fragiles de la société, ne paient pas le prix du réarmement", a ajouté le président de la Comece, Mariano Crociata. Le pape Léon XVI a également souligné aux évêques «la nécessité d'accompagner les jeunes et les familles» et que c'est «le rôle de l'Église en Europe».

 

Le pape Léon XIV doit rencontrer samedi 24 mai les responsables de la Curie, qui attendent de connaître les éventuels changements qu’il pourrait apporter à l’organisation des services du Vatican. Sa première nomination, jeudi 22 mai, a été celle d’une femme au poste de secrétaire du dicastère pour la vie consacrée, Tiziana Merletti, ancienne supérieure générale des sœurs franciscaines des pauvres (https://www.la-croix.com/religion/leon-xiv-apres-les-reformes-de-francois-la-curie-romaine-attend-les-decisions-du-nouveau-pape-20250523), ce qui montre une continuité dans la ligne du pape François d’un plus grand rôle des femmes dans l’Église.

 

Cet héritage du pape François est confirmé par le cardinal Jozef De Kesel qui juge qu’il a contribué à l’élection rapide du nouveau pape à travers une Église «plus humble, plus proche des gens, ouverte au monde », qui « partage les joies mais aussi les tristesses et les angoisses de l’homme d’aujourd’hui», et à propos du nouveau pape Léon XIV, il salue une continuité profonde avec son prédécesseur argentin, sans toutefois être une simple "copie", et il pourrait être celui qui «continuera et consolidera l’héritage du Pape François», en particulier sur la synodalité, la réforme de la curie, ou encore la place des femmes dans l’Église (https://www.cathobel.be/2025/05/les-premiers-pas-de-leon-xiv-sont-dans-la-continuite-de-francois-decrypte-le-cardinal-de-kesel/). 

 

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Publié le 21 Mai 2025

SudOuest.fr avec l’AFP nous montrent que face à la situation «de plus en plus préoccupante et douloureuse» à Gaza, le pape Léon XIV lance ce mercredi un appel «pressant» pour l’acheminement d’une aide humanitaire suffisante et la fin des hostilités, soulignant le lourd tribut payé par les populations civiles, «dont le prix atroce est payé par les enfants, les personnes âgées et les malades». «La situation dans la bande de Gaza est de plus en plus préoccupante et douloureuse», a également déploré le pape lors de son audience générale hebdomadaire en public place Saint-Pierre, la première depuis son élection. Le 11 mai, le pape s’était déjà dit «profondément attristé par ce qui se passe dans la bande de Gaza», et avait appelé à ce «que les hostilités cessent immédiatement, que de l’aide humanitaire soit apportée à la population civile épuisée et que tous les otages soient libérés».

 

Cet appel du pape intervient alors que l’ONG Médecins sans frontières a accusé mercredi Israël de ne laisser entrer à Gaza qu’une aide «ridiculement insuffisante» face aux besoins du territoire, seulement pour ne pas être accusé «de famine imposée à la population». L’aide autorisée dans la bande de Gaza, une centaine de camions depuis lundi selon les autorités israéliennes, «n’est qu’un écran de fumée», selon MSF, puisque c’«est une manière d'instrumentaliser l'aide, en la transformant en outil au service des objectifs militaires des forces israéliennes» (https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2025-05/pape-leon-xiv-gaza-appel-audience-generale.html), alors que le siège, qu’Israël a imposé à Gaza début mars pour forcer le Hamas à libérer les otages qu’il détient encore, «se poursuit».

 

Libération.fr (https://www.liberation.fr/international/europe/gaza-malgre-les-pressions-europeennes-israel-poursuit-les-bombardements-20250521_3NTHCYORLVE3RD5PBRAENHL3ZI/) nous montre que les pressions et la colère de plusieurs pays occidentaux comme l'Union européenne qui a ainsi annoncé mardi 20 mai qu'elle allait lancer un réexamen de son accord d'association avec Israël, de son côté, le Royaume-Uni a annoncé suspendre ses négociations pour un accord de libre-échange avec Israël, et La veille, le président français Emmanuel Macron et les Premiers ministres britannique Keir Starmer et canadien Mark Carney s'en étaient pris aux "actions scandaleuses" du gouvernement israélien, promettant des sanctions ou encore la reconnaissance d'un État palestinien (https://www.france24.com/fr/moyen-orient/20250521-trump-ue-isolement-isra%C3%ABl-prend-ampleur-drame-gaza-netanyahu-hamas), n’y ont rien changé : Israël a poursuivi mercredi son offensive visant à annexer la bande de Gaza. Ses attaques ont tué au moins 82 personnes, dont 14 membres d’une même famille à Khan Younes, dans le sud, et un nourrisson d’une semaine dans le centre de l’enclave, selon le ministère de la Santé et des sources hospitalières.

 

L’incident à Jénine, où des tirs de sommation israéliens ont interrompu une visite diplomatique organisée par l’Autorité palestinienne à Jénine, en Cisjordanie occupée, accentue la pression internationale sur Israël concernant sa gestion du conflit à Gaza. Toute menace contre la vie de diplomates est «inacceptable», a immédiatement réagi à Bruxelles Kaja Kallas, la cheffe de la diplomatie européenne. L’Allemagne, la Belgique, l’Espagne, les Pays-Bas, l’Irlande et l’Égypte ont également condamné les tirs, Rome, Paris et Lisbonne annonçant pour leur part convoquer les ambassadeurs d’Israël. L’Autorité palestinienne a dénoncé un «crime odieux commis par les forces d’occupation israéliennes». De son côté, l’ONU a réclamé une «enquête minutieuse» des autorités israéliennes sur cet acte «inacceptable» (https://www.sudouest.fr/international/moyen-orient/israel/en-cisjordanie-des-diplomates-etrangers-vises-par-des-tirs-israeliens-vague-d-indignation-internationale-24538672.php).

 

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Publié le 20 Mai 2025

L’édito politique de Renaud Dély sur radiofrance.fr nous montre ce mardi que la fin de vie est au cœur des discussions et des débats à l'Assemblée, mais plusieurs religions s'allient et luttent contre cette réforme qu'ils qualifient de "basculement radical".

 

La Conférence des évêques de France appelle ses fidèles à se mobiliser pour faire pression sur les parlementaires et bloquer un texte qui "remettrait en cause le respect dû à toute vie humaine". Des lettres adressées aux députés, des affiches placardées dans les lieux de culte, des réunions publiques, tous les moyens sont bons pour sonner le tocsin.

 

Vendredi 16 mai, les porte-parole de six religions, catholiques, protestants, orthodoxes, juifs, musulmans et bouddhistes étaient rassemblées au sein de la conférence des représentants des cultes. Ils ont co-signé un texte pour dénoncer une réforme qui opère "un basculement radical" en instaurant "une culture de la mort". Dans une tribune publiée dans Le Figaro, le grand rabbin Haïm Korsia a même assimilé le texte sur l’aide active à mourir au rétablissement de la peine de mort "sous une autre forme".

 

Les mêmes cultes se sont opposés, main dans la main, au fil du temps, à la légalisation de l’IVG, puis, plus près de nous, au mariage homosexuel, et enfin à l’extension de la PMA à toutes les femmes. Avec, à chaque fois, une formule glaçante, exhumée à propos de la fin de vie : ces réformes portent un danger de "rupture anthropologique", c’est-à-dire une menace civilisationnelle. Une position partagée par la quasi-totalité des Églises dans le monde.

 

En Espagne, la conférence épiscopale avait accusé l’État d’être "coupable d’homicide" lors de l’adoption d’une loi légalisant l’euthanasie en 2021. Deux ans plus tard, son homologue portugaise s’était indignée d’un "recul de civilisation", même chose au Canada ou en Nouvelle-Zélande. Il n’y a guère que certaines Églises anglicane ou protestante, par exemple aux Pays-Bas, qui considèrent que l’euthanasie peut, selon les cas, relever d’un choix individuel.

 

À l’Assemblée, le débat doit durer encore une semaine. Ce qui frappe au fond, c’est le contraste entre des Églises qui font bloc au nom du dogme, de la foi dans le caractère sacré de la vie qui n’appartient pas, selon elles, à l’individu, et des débats parlementaires pour l’heure, sereins et apaisés. À l’Assemblée, les camps ne sont pas figés, chaque groupe laisse ses membres s’exprimer en conscience. Et les échanges sont, pour l’heure, respectueux et nuancés. Une pratique qui, il faut l'avouer, n’est pas commune depuis la dissolution.

 

Pas sûr que cette opposition marche puisque les députés, qui débattent du texte sur la fin de vie, viennent d’adopter ce mardi 20 mai 2025, l’article 4, qui définit les «conditions d’accès» à l’aide à mourir. Les discussions ont suscité des tensions dans l’Hémicycle. Les opposants au texte ont tenté de limiter les critères, tandis que le rapporteur général, Olivier Falorni, et la ministre Catherine Vautrin ont veillé, ensemble, à préserver «l’équilibre» du texte (https://www.ouest-france.fr/societe/fin-de-vie/fin-de-vie-quelles-conditions-pour-acceder-a-laide-a-mourir-debat-mouvemente-entre-les-deputes-6cd18352-3556-11f0-bf6c-240af7605eff).

 

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Publié le 19 Mai 2025

religiondigital.org nous montre que le pape Léon XIV a affirmé ce lundi "qu'aujourd'hui est un temps de dialogue et de construction de ponts" dans "un monde blessé par la violence et les conflits", lors d'une audience avec des représentants d'autres religions qui ont participé à la messe inaugurale de son pontificat. «À vous tous, représentants d'autres traditions religieuses, j'exprime ma gratitude pour votre participation à cette rencontre et pour votre contribution à la paix. Dans un monde meurtri par la violence et les conflits, chacune des communautés représentées ici apporte sa sagesse, sa compassion et son engagement pour le bien de l'humanité et la sauvegarde de notre maison commune», a déclaré le pape américain. Et il a souligné : «Je suis convaincu que si nous sommes unis et libérés des contraintes idéologiques et politiques, nous pouvons être efficaces pour dire non à la guerre et oui à la paix , non à la course aux armements et oui au désarmement, non à une économie qui appauvrit les peuples et la terre et oui au développement global.» «Le témoignage de notre fraternité, que j’espère que nous pourrons démontrer par des actions concrètes, contribuera sans aucun doute à construire un monde plus pacifique, comme le désirent profondément tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté», a-t-il ajouté.

 

Le pape Léon XIV a expliqué qu'il a toujours ressenti le souci de l'unité entre les chrétiens, comme en témoigne la devise de son pontificat «In Illo uno unum», expression de saint Augustin d'Hippone qui rappelle que nous aussi, bien que nous soyons nombreux, dans l'Un, c'est-à-dire dans le Christ, nous sommes un. «Je désire vous assurer de mon intention de poursuivre l'engagement du Pape François dans la promotion du caractère synodal de l'Église catholique et dans le développement de formes nouvelles et concrètes pour une synodalité toujours plus intense dans la sphère œcuménique», a-t-il déclaré. Il a également souligné la nécessité du dialogue avec les autres religions, déclarant que «le dialogue théologique entre chrétiens et juifs demeure toujours important et très précieux pour moi. Même en ces temps difficiles, marqués par les conflits et les incompréhensions, il est nécessaire de poursuivre avec enthousiasme ce précieux dialogue.» Il a souligné que «les relations entre l'Église catholique et les musulmans ont été marquées par un engagement croissant en faveur du dialogue et de la fraternité, nourri par l'appréciation de ces frères et sœurs qui adorent le Dieu unique, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, qui a parlé à l'humanité». «Cette approche, fondée sur le respect mutuel et la liberté de conscience, représente une base solide pour construire des ponts entre nos communautés», a ajouté le pape.

 

LeParisien.fr avec l’AFP (https://www.leparisien.fr/international/le-vice-president-americain-jd-vance-a-rencontre-le-pape-leon-xiv-et-son-ministre-des-affaires-etrangeres-au-vatican-19-05-2025-YRQAYYOWUZHY7EFKWTJA6FTPD4.php) nous montrent aussi que le pape Léon XIV a reçu ce lundi matin en audience au Vatican le vice-président américain JD Vance, a déclaré un porte-parole de ce dernier, au lendemain de sa participation à la messe inaugurale du souverain pontife. Le bras droit de Donald Trump a remis en personne au souverain pontife une lettre d’invitation à la Maison-Blanche signée du chef d’État américain. Le Vatican a publié une photo du pape natif de Chicago recevant JD Vance et le secrétaire d’État Marco Rubio. Le vice-président américain a rencontré par la suite également Mgr Paul Richard Gallagher, «ministre des Affaires étrangères» du pape, selon un communiqué du Vatican. Les deux hommes se sont félicités des «bonnes relations bilatérales» et ont procédé à un échange de vues concernant des sujets «d’actualité internationale, souhaitant que dans les zones de conflit, le droit humanitaire et le droit international soient respectés et une solution négociée» trouvée «entre les parties impliquées», selon la même source. «Ce fut une bonne rencontre, une rencontre productive», a déclaré lors d’un point presse la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, précisant que Donald Trump espérait voir Léon XIV à Washington «dès qu’il pourra venir».

 

Enfin, Paula Bistagnino dans elDiario.es (https://www.eldiario.es/sociedad/alivio-le-duro-opus-dei-leon-xiv-exige-reforma-estatutos-reactiva-causa-argentina_1_12292335.html) nous livre une excellente nouvelle puisque le nouveau pape n'a pas perdu un jour pour prendre position contre l’Opus Dei, cette organisation ultra-catholique, et lors d'une rencontre avec la direction de l'Œuvre, mercredi dernier, durant laquelle le pape Léon XIV a convoqué le «modérateur» de l'Opus Dei, l'Espagnol Fernando Ocáriz, et son adjoint, l'Argentin Mariano Fazio, pour délivrer un message très clair : il les a exhortés à achever les changements qu'ils avaient suspendus unilatéralement en raison du "deuil" après la mort du pape François, tandis que le premier front judiciaire en Argentine pour trafic et exploitation de 43 femmes comme servantes pour les membres d'élite de l'organisation avance.

 

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